INTOLERANCE AU LACTOSE ?
C'est la grande controverse à l'heure actuelle, du lait ou pas de lait ? Cet aliment si riche, si complet, cet aliment de sécurité, dit-on, alors...
C'est la digestion du lactose qui pose problème, ce sucre qui est naturellement présent dans le lait. En effet pour bien le digérer il faut posséder une enzyme appelée lactase dont tous les mammifères disposent à la naissance. Hélas ! cette enzyme cesse complètement d'être produite aprés le sevrage. Dès la petite enfance elle disparait dans la proportion de 95%. Et donc chez toutes les personnes qui n'en produisent plus il y a intolérance au lactose. Et, bien sûr, apparaissent des désagréments comme des flatulences, des gaz, des ballonnements, également des crampes, et le calcium que l'on croit avoir absorbé en quantité n'est plus absorbé, mais au contraire, il devient une source d'autres désagréments.
Les statistiques montrent que l'intolérance n'est pas la même, chez les nord européens par exemple, elle n'est que de 15% environ, alors que chez les asiatiques, elle est pratiquement de 100%.
Nous avons vu dans différents articles que boire le lait d'une vache n'est pas naturel dans la mesure où ce lait doit faire grossir un veau de plus de 200 kg trés rapidement. Le simple bon sens nous fait comprendre que quelque part, cet aliment n'est pas adapté à l'alimentation humaine. Et en fait on a remarqué que le lait de chêvre que l'on retrouve dans le régime crétois est mieux adapté. Cela n'empêche pas que l'absence de lactase pose toujours problème. A l'âge adulte l'être humain n'a plus le matériel organique nécessaire pour digérer et assimiler parfaitement tous les laitages.
Au pire, s'il tient absolument à en consommer, il sera toujours préférable de le consommer déjà caillé, sous forme de lait caillé, yaourt ou fromages. Il aura déjà supprimé un inconvénient et une fatigue supplémentaire pour nos organes digestif. Notre estomac d'adulte ne fabrique plus la présure qui caille le lait, et là, il l'est déjà, donc ça passera mieux.
Le seul fait de supprimer tous les laitages peut à lui seul solutionner de nombreux problèmes, maladies auto-immunes, arthrose, douleurs musculaires, psoriasis, sclérose en plaques, colites, troubles gastro-intestinaux et de nombreuses allergies.
Nous ne savons pas dans quelle mesure nous sommes intolérants au lactose mais la simple prudence permet de solutionner ce problème. On peut trés facilement faire des essais. Supprimer tous les laitages pendant une semaine et ensuite prendre des laitages dans une proportion suffisante pour permettre l'observation des différentes réactions de notre organisme. Si vous commencez à avoir de mauvaises digestions, des ballonnements ou des douleurs erratiques toute nouvelles, vous comprendrez mieux. Vous pourrez toujours recommencer le test en pratiquant donc une autre semaine d'abstinence complète suivie d'une petite consommation de laitages différente. Par exemple ne consommer que des laitages caillés, ou des laitages de chêvre, ou de brebis, en petites quantités. Tous ces essais auront pour but de vous fixer sur votre intolérance au lactose.
Peut-être vous vous demandez si j'ai fait ces tests, et bien oui, je les ai fait et j'avoue que les résultats ne sont guêre encourageants. J'ai 71 ans et à cet âge les douleurs viennent facilement vous rappeler que vous n'êtes plus un perdreau de l'année. J'arrête les laitages, je n'ai plus aucune douleur, nulle part. Je reprends, soit par gourmandise, soit parce que j'ai fait un repas chez des amis et presque automatiquement j'ai des douleurs qui arrivent le lendemain mais qui cessent trés rapidement lorsque j'arrête la consommation de laitages. Et, hier encore, j'ai fait une compétition de course à pied (10 kms), et aucune douleur articulaire pour me rappeler mon âge, et c'est pourtant un sport traumatisant pour nos articulations. Alors, à vous de faire des essais...
Je reconnais que si on pouvait assimiler parfaitement le lait et tous ses éléments, le lait serait un aliment bénéfique. Mais on a trop eu tendance à ne présenter que les éléments qui composent nos aliments. Jamais aucune étude n'est faite sur les éléments que nous sommes en mesure d'assimiler. Ceux que notre organisme pourra reconnaitre et assimiler sans effort, ni inconvénients.
C'est la digestion du lactose qui pose problème, ce sucre qui est naturellement présent dans le lait. En effet pour bien le digérer il faut posséder une enzyme appelée lactase dont tous les mammifères disposent à la naissance. Hélas ! cette enzyme cesse complètement d'être produite aprés le sevrage. Dès la petite enfance elle disparait dans la proportion de 95%. Et donc chez toutes les personnes qui n'en produisent plus il y a intolérance au lactose. Et, bien sûr, apparaissent des désagréments comme des flatulences, des gaz, des ballonnements, également des crampes, et le calcium que l'on croit avoir absorbé en quantité n'est plus absorbé, mais au contraire, il devient une source d'autres désagréments.
Les statistiques montrent que l'intolérance n'est pas la même, chez les nord européens par exemple, elle n'est que de 15% environ, alors que chez les asiatiques, elle est pratiquement de 100%.
Nous avons vu dans différents articles que boire le lait d'une vache n'est pas naturel dans la mesure où ce lait doit faire grossir un veau de plus de 200 kg trés rapidement. Le simple bon sens nous fait comprendre que quelque part, cet aliment n'est pas adapté à l'alimentation humaine. Et en fait on a remarqué que le lait de chêvre que l'on retrouve dans le régime crétois est mieux adapté. Cela n'empêche pas que l'absence de lactase pose toujours problème. A l'âge adulte l'être humain n'a plus le matériel organique nécessaire pour digérer et assimiler parfaitement tous les laitages.
Au pire, s'il tient absolument à en consommer, il sera toujours préférable de le consommer déjà caillé, sous forme de lait caillé, yaourt ou fromages. Il aura déjà supprimé un inconvénient et une fatigue supplémentaire pour nos organes digestif. Notre estomac d'adulte ne fabrique plus la présure qui caille le lait, et là, il l'est déjà, donc ça passera mieux.
Le seul fait de supprimer tous les laitages peut à lui seul solutionner de nombreux problèmes, maladies auto-immunes, arthrose, douleurs musculaires, psoriasis, sclérose en plaques, colites, troubles gastro-intestinaux et de nombreuses allergies.
Nous ne savons pas dans quelle mesure nous sommes intolérants au lactose mais la simple prudence permet de solutionner ce problème. On peut trés facilement faire des essais. Supprimer tous les laitages pendant une semaine et ensuite prendre des laitages dans une proportion suffisante pour permettre l'observation des différentes réactions de notre organisme. Si vous commencez à avoir de mauvaises digestions, des ballonnements ou des douleurs erratiques toute nouvelles, vous comprendrez mieux. Vous pourrez toujours recommencer le test en pratiquant donc une autre semaine d'abstinence complète suivie d'une petite consommation de laitages différente. Par exemple ne consommer que des laitages caillés, ou des laitages de chêvre, ou de brebis, en petites quantités. Tous ces essais auront pour but de vous fixer sur votre intolérance au lactose.
Peut-être vous vous demandez si j'ai fait ces tests, et bien oui, je les ai fait et j'avoue que les résultats ne sont guêre encourageants. J'ai 71 ans et à cet âge les douleurs viennent facilement vous rappeler que vous n'êtes plus un perdreau de l'année. J'arrête les laitages, je n'ai plus aucune douleur, nulle part. Je reprends, soit par gourmandise, soit parce que j'ai fait un repas chez des amis et presque automatiquement j'ai des douleurs qui arrivent le lendemain mais qui cessent trés rapidement lorsque j'arrête la consommation de laitages. Et, hier encore, j'ai fait une compétition de course à pied (10 kms), et aucune douleur articulaire pour me rappeler mon âge, et c'est pourtant un sport traumatisant pour nos articulations. Alors, à vous de faire des essais...
Je reconnais que si on pouvait assimiler parfaitement le lait et tous ses éléments, le lait serait un aliment bénéfique. Mais on a trop eu tendance à ne présenter que les éléments qui composent nos aliments. Jamais aucune étude n'est faite sur les éléments que nous sommes en mesure d'assimiler. Ceux que notre organisme pourra reconnaitre et assimiler sans effort, ni inconvénients.