CHIMIOTHERAPIE OU RIEN ?
Ce sont des scientifiques qui l'ont instaurée, et le commun des mortels fait entière confiance. Lorsqu'il est malade il remet sa vie entre les mains de ces messieurs, c'est forcément ce qui se fait de mieux en matière de soins.
Pourtant une curieuse statistique est sortie qui met en lumière une chose stupéfiante. Lorsque les médecins sont atteints par cette terrible maladie qu'est le cancer, 75% d'entre eux refusent la chimiothérapie et les soins mis en place pour les autres patients. Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais. Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donné l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité.
De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu'il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ». Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu'au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s'apparente aux « habits neufs de l'empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie. Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C'est une opinion fondée sur une illusion qui n'est étayée par aucune des études cliniques ». Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi.
Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s'agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ». Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu'à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s'étendre et à « métastaser » dans d'autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients !
Alors nous, les petits, qui n'avons pas accès à toutes les informations reçues par les médecins, nous n'avons plus qu'à gratter à droite et à gauche pour savoir ce qu'il en est réellement. Et ce que nous apprenons est encore plus ahurissant.
Par exemple cette étude faite par des chercheurs de Washington. Ils ont découvert par hasard une vérité mortelle sur la chimiothérapie. La chimiothérapie induit la libération d'une protéine (WNT16B) dans les cellules saines qui aide à encourager la survie et la croissance des cellules cancéreuses. Il en résulte que la chimiothérapie est non seulement inutile, polluante, mais qu'en plus elle est dangereuse et qu'au contraire elle active plutôt la croissance et l'étendue des cellules cancéreuses, les rendant plus difficiles à éliminer une fois que la chimiothérapie a été démarrée.
On parle même d'une vaste escroquerie, car n'oublions pas que c'est la méthode standard de traitement du cancer aujourd'hui et que c'est pourtant un fiasco total.
Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que leLancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry[2] : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. » Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. […] Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative.
Et là, je ne peux m’empêcher de repenser à ce cher docteur André GERNEZ qui criait au loup depuis longtemps, avait parlé de "scandale du siècle", et avait trouvé des éléments qui étaient pour le moins aussi efficaces que les traitements officiels sans en avoir la toxicité, à savoir la mise en acidose du terrain qui permettait aux cellules saines de survivre alors que les cellules cancéreuses ne le pouvaient pas.
Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. C'est lui qui a présidé la rencontre médecins - naturopathes à laquelle j'ai participé pour la mise en place d'un protocole anticancer selon les principes du dr André Gernez, je lui laisse la parole.« En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l'embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d'entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d'incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu'un futur cancer s'installe vers 32 ans. L'étude SUVIMAX a montré qu'une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d'environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n'en a été tirée. Bien entendu, l'industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d'une façon ou d'une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l'industrie pharmaceutique. »
Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr
La conclusion c'est que la chimiothérapie diminue les chances de retrouver la santé. Comme toujours, on lutte contre la maladie et on oublie le malade. Et certains parlent de victoire, ils ont tué le cancer, en oubliant qu'ils ont également tué le malade. La technique est totalement sans valeur, elle est toujours au détriment du patient cancéreux.
La chimiothérapie endommage également l'ADN des cellules saines de façon irréversible, ce qui provoque des lésions à long terme très longtemps après le traitement par chimio. On pourrait utiliser la chimio pour provoquer le cancer, mais non, je vous assure, c'est le traitement du cancer.
Une pensée d'un médecin lucide mort en 2000, un des plus grands spécialistes du cancer aux Etats-Unis, le dr Glenn Warner :
"Nous avons une industrie à plusieurs milliards de dollars qui tue les gens juste pour un gain financier. Leur idée de recherche est de voir si deux doses de ce poison valent mieux que trois doses de ce poison". Cocasse !
La grande erreur c'est de se concentrer comme toujours sur la maladie au lieu de se concentrer sur le malade. On essaie de tuer le cancer, mais le problème c'est que ces produits tuent autant de cellules saines que de cellules cancéreuses, et en particulier les cellules à reproduction rapide, c'est à dire le sang. Le traitement est capable de mettre dans un état déplorable n'importe quelle personne en pleine santé. Cela me rappelle une formule de mon professeur de naturopathie, Mr MARCHESSEAU, que j'avais trouvée excellente, c'est pour cela qu'elle est déjà sortie plusieurs fois dans ce blog : "Comment peut-on faire de la santé avec des médicaments qui rendent malade une personne saine ?".
Mais nos scientifiques ont toujours opéré comme cela, une médecine par les poisons. Au XIXème siècle, on prescrivait un remède à base de mercure appelé Calomel, qui soignait soi-disant toutes les maladies et ainsi les médecins tuaient leurs malades par empoisonnement, avec la bouche en cœur.
Pourtant, au regard de la statistique des 75% de médecins qui refusent la chimiothérapie, ces messieurs SAVENT que la chimiothérapie tue plus qu'elle ne guérit. Alors pourquoi on ne change pas le fusil d'épaule ? Ils ont signé le serment d'Hypocrate ou celui d'hypocrite ?
Et bien parlons-en un peu, vous allez comprendre pourquoi ! Une seule séance de chimiothérapie peut coûter jusqu'à 6000 euros. En faisant un petit calcul rapide, prenant en compte le nombre de cancéreux traité par chimiothérapie, pour les labos c'est environ entre 5 et 6 milliards d'euros qui tombent dans leur escarcelle (et qui sortent de la sécurité sociale, donc de notre poche). Devant ces profits gigantesques, comment voulez-vous que ces messieurs des labos qui s'engraissent à nos dépens, mettent en place des recherches qui iraient contre leurs intérêts. Ils n'ont aucun intérêt à ce que le cancer soit éradiqué. Il y va de leur santé financière, de leur prospérité, et parce que ce sont eux qui financent les recherches, la boucle est bouclée, vous avez tout compris.
J'ai lu quelque part sur internet : Un jour un haut responsable de grands laboratoires pharmaceutiques, dont l'épouse a été guérie "illégalement" d'un cancer de la langue, témoigne que dans leur métier, ils avaient des recommandations pour n'orienter aucune recherche contre le cancer.
Et si on se penche sur les déclarations de certains docteurs, professeurs et scientifiques, on se rend bien compte que cette méthode de soins va dans le mur, et nous avec. On en arrive à cette désastreuse statistique :
Selon les associations médicales, les effets secondaires dangereux des médicaments représenteraient aujourd'hui la 4ème cause de mortalité après l'infarctus, le cancer et l'apoplexie. On ne nous soigne pas, on nous tue.
Mais alors, que faire ?
Et bien cela aussi on nous le cache. Depuis très longtemps, le cancer se guérit, on a passé sous silence le pouvoir de toutes les diététiques qui ont permis à des malades d'extirper leur cancer.
On trouve ici le JEUNE, la Macrobiotique, l'alimentation entièrement crue, les cure de Breuss, la méthode Gerson, la toute simple restriction alimentaire, la mise en acidité du dr Gernez, et tout récemment les alimentations cétogène et paléo. Et de nombreux compléments alimentaires ont également fait leurs preuves : La vitamine B17, de simples noyaux d'abricot, Desmodium, Panaceo (roche volcanique), Ganoderma lucidum, Germanium, jus de noni, (Morinda Citrifolia), citron, Corossol ou Graviola, Curcuma, les produits Beljanski, et j'en oublie très certainement. Mais ces noms barbares ne vous sont pas familiers, bien sur. Certains ont fait l'objet d'articles dans ce blog, vous pouvez vous y reporter.
Je vous rappelle que pour la seule méthode du dr André Gernez, la Vie Claire avait édité une brochure avec pour titre "le cancer est vaincu" à 1 million d'exemplaires, mais vous pensez bien que ne manger qu'un repas par jour pendant 40 jours ce n'est pas trop sérieux, pas suffisamment scientifique, et ça ne profitait à personne. Le génie du dr André Gernez est tombé aux oubliettes, pourtant c'était déjà la restriction alimentaire et le pouvoir de, non seulement guérir le cancer, mais opérer sur le malade un rajeunissement extraordinaire.
On peut faire vivre l'enfer à nos cellules cancéreuses, mais chut, ça n'est pas très sérieux tout cela, surtout ça n'est pas scientifique, cela détruirait notre économie, la bourse s'effondrerait, ça ne rapporte rien à personne, un véritable cataclysme, et si c'était vrai ça se saurait, vous voyez il y a des tonnes d'arguments contre, n'en parlez surtout pas autour de vous, on vous enfermerait dans un centre psychiatrique.
Et pour terminer je vous mets le lien de l'exceptionnelle émission diffusée sur Arte le 6 Mars 2015, qui parle du jeûne et de ses effets, de la cétose provoquée. A noter les cures de jeûne sont remboursées en Allemagne. Ne ratez pas ce moment unique.