IRIDOLOGIE : la PUPILLE
Commençons par le commencement et par le centre de l'oeil, au centre même de l'iris, la PUPILLE.
C'est le point de départ, le sens de la vie, qui part du centre vers la périphérie. Et au contraire, lorsque le néant nous attire et que la mort étend sur nous son manteau de plomb, vous voyez des signes qui partent de la périphérie vers le centre. C'est le gérontoxon, qui apparait à la périphérie, blanchâtre et qui va en s'épaississant jusqu'à recouvrir tout l'iris. C'est la fin du voyage.
L'énergie vitale de chaque individu se manifeste par une force centrifuge partant de la pupille et allant vers la périphérie de l'iris. Cette force est violente chez les sujets jeunes et toniques, et beaucoup plus atténuée chez les sujets faibles, vieux ou malades chroniques. Et si on fait le parallèle avec le corps lui-même, tout part du ventre, l'intérieur, et irradie vers l'extérieur pour aboutir à la peau, qui est l'aboutissement de ces expulsions violentes. Rien d'étonnant donc que l'on voit de jeunes enfants, dont la force vitale est trés grande, faire des éruptions généralisées, violentes et rapides. Vite venues et vite parties, l'organisme se défend bien. Chez les sujets dont la force vitale est considérablement affaiblie on observera plutôt des éruptions lentes à venir, lentes à guérir, quelquefois même qui ne guérissent jamais. Le jeune fera des maladies aigues, le vieux fera des maladies chroniques.
Donc, pour en revenir à la pupille, on a coutume de penser qu'elle est au centre de l'iris et qu'elle est ronde, bien sûr. Et elle est normalement comme cela lorsque l'on est en bonne santé. Mais dans les faits, on commence l'observation de l'oeil à partir de la pupille elle-même car trés souvent elle est décentrée, cabossée, déformée en ovale, aplatie même parfois. Et bien sûr cela a une signification que l'iridologue va interpréter. Une mydriase bilatérale (pupille grossie), orthosympathicotonie, excitation du sympathique, du par exemple à la drogue ou à l'alcoolisme. Lorsque le sujet est au contraire en manque de ces poisons la pupille se retrécit (myosis). La mydriase d'un seul côté peut signer une hémorragie, une tumeur, une méningite ou une compression quelconque et dans ce cas on aura d'autres signes par ailleurs. L'inégalité des deux pupilles se rencontre dans les cas de neurasthénie, les paralysies, dépression.
En tous cas lorsqu'il y a déformation, en ovale, aplatissement, etc... c'est l'organe qui se situe en face de la déformation qui est atteint et on va constater des signes dans cet organe, comme Bourdiol nous le présente bien
.
Comme je n'arrive pas à mettre les images plus grosses je réécris les annotations concernant les pupilles aplaties. En commençant par le haut et de gauche à droite : Asthénie - Dépression - Ressassement psychique. 2ème ligne tentative de suicide. Acouphénies. Atteinte labyrinthique - Vertige névropathique. Dyspnée -Signe pulmonaire et cardiopathie. Diabète. Atteinte rénale. Troubles génitaux et troubles névrotiques sexuels. Crampes aux jambes et sciatique paralysante - atteinte du membre inférieur - psychasthénie. Et tout à fait en bas, défaut de concentration - troubles psychiques - délire de persécution.
- Dans le shéma de gauche et de haut en bas nous avons : Troubles circulatoires cérébraux - Etat dépressif - hémiplégie - et tendance à Hémorragie cérébrale ; déformations pupillaires.
Vous remarquerez que la déformation va toujours dans le sens de l'organe atteint (Voir la cartographie sur l'article précédent).
C'est le point de départ, le sens de la vie, qui part du centre vers la périphérie. Et au contraire, lorsque le néant nous attire et que la mort étend sur nous son manteau de plomb, vous voyez des signes qui partent de la périphérie vers le centre. C'est le gérontoxon, qui apparait à la périphérie, blanchâtre et qui va en s'épaississant jusqu'à recouvrir tout l'iris. C'est la fin du voyage.
L'énergie vitale de chaque individu se manifeste par une force centrifuge partant de la pupille et allant vers la périphérie de l'iris. Cette force est violente chez les sujets jeunes et toniques, et beaucoup plus atténuée chez les sujets faibles, vieux ou malades chroniques. Et si on fait le parallèle avec le corps lui-même, tout part du ventre, l'intérieur, et irradie vers l'extérieur pour aboutir à la peau, qui est l'aboutissement de ces expulsions violentes. Rien d'étonnant donc que l'on voit de jeunes enfants, dont la force vitale est trés grande, faire des éruptions généralisées, violentes et rapides. Vite venues et vite parties, l'organisme se défend bien. Chez les sujets dont la force vitale est considérablement affaiblie on observera plutôt des éruptions lentes à venir, lentes à guérir, quelquefois même qui ne guérissent jamais. Le jeune fera des maladies aigues, le vieux fera des maladies chroniques.
Donc, pour en revenir à la pupille, on a coutume de penser qu'elle est au centre de l'iris et qu'elle est ronde, bien sûr. Et elle est normalement comme cela lorsque l'on est en bonne santé. Mais dans les faits, on commence l'observation de l'oeil à partir de la pupille elle-même car trés souvent elle est décentrée, cabossée, déformée en ovale, aplatie même parfois. Et bien sûr cela a une signification que l'iridologue va interpréter. Une mydriase bilatérale (pupille grossie), orthosympathicotonie, excitation du sympathique, du par exemple à la drogue ou à l'alcoolisme. Lorsque le sujet est au contraire en manque de ces poisons la pupille se retrécit (myosis). La mydriase d'un seul côté peut signer une hémorragie, une tumeur, une méningite ou une compression quelconque et dans ce cas on aura d'autres signes par ailleurs. L'inégalité des deux pupilles se rencontre dans les cas de neurasthénie, les paralysies, dépression.
En tous cas lorsqu'il y a déformation, en ovale, aplatissement, etc... c'est l'organe qui se situe en face de la déformation qui est atteint et on va constater des signes dans cet organe, comme Bourdiol nous le présente bien
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- Dans le shéma de gauche et de haut en bas nous avons : Troubles circulatoires cérébraux - Etat dépressif - hémiplégie - et tendance à Hémorragie cérébrale ; déformations pupillaires.
Vous remarquerez que la déformation va toujours dans le sens de l'organe atteint (Voir la cartographie sur l'article précédent).