LE JEUNE et les TROUBLES MENTAUX
On a souvent constaté que les gens qui souffrent de troubles mentaux sont de gros mangeurs. Et non seulement de gros mangeurs mais aussi des individus qui mangent n'importe quoi. Alors évidemment aucun d'entre eux n'a jamais fait le rapport entre la santé et l'alimentation. C'est facile de penser à l'alimentation lorsque l'on présente une crise de foie ou une indigestion mais lorsque le système nerveux fait des siennes et réagit anarchiquement, peu nombreux sont ceux qui pensent que l'alimentation peut être à l'origine.
Les docteurs Dewey, Hufeland et surtout le Dr Bertholet dans son ouvrage "retour à la santé et à la vie saine par le jeune" en ont beaucoup parlé et en sont arrivés à la conclusion que le jeûne était bien la thérapeutique de choix dans la plupart des affections nerveuses.
Citons le Dr Bertholet : "Nous ne comptons plus le nombre de malheureux asthéniques, obsédés, phobiques, agités ou déprimés, loques humaines, proies de la prostration et de l'insomnie chronique que nous avons rapidement soulagés par l'application de cette cure miraculeuse. C'est à cette occasion que nous avons pu porter un prompt secours à quantité de pauvres patients découragés par l'échec de cures médicamenteuses ou alimentaires prétendues fortifiantes".
Et le processus de désintoxication est toujours le même, les médicaments sont éliminés en premier lieu, par tous les émonctoires, par les sécrétions glandulaires et par la peau notamment. On constate souvent des poussées d'urticaire avec plaques rougeâtres qui correspondent à l'expulsion de ces poisons. Et dès que la désintoxication est terminée ces symptômes disparaissent comme par enchantement.
Toujours du Dr Bertholet : "Nous avons vu ainsi s'éliminer de vieux résidus de préparations arsenicales et mercurielles, absorbées 15 ans plus tôt, et qui avaient eu comme effet éloigné de laisser le malade dans un état de prostration inexplicable, en proie à des céphalées dont aucun traitement n'avait pu avoir raison ; Grâce à une série de jeûnes, tous ces symptômes morbides disparurent, permettant la reprise d'une vie supportable et active, ce qui était totalement impossible avant la cure."
Le Dr Hufeland cite dans son "art de prolonger la vie" plusieurs cas remarquables de guérison par le jeûne. Il s'agit d'un officier français malade depuis longtemps et tombé dans la mélancolie la plus noire. Il avait résolu de mettre fin à ses jours en se laissant mourir de faim ; La bonne idée - Durant les 39 premiers jours il ne prit qu'une petite quantité d'eau pure parfumée avec quelques gouttes d'extrait d'anis ; puis il cessa totalement de boire. Le 46ème jour de son jeûne volontaire il vit un enfant entrer dans sa chambre avec une tartine de beurre ; A ce spectacle, le sentiment de faim naturelle et impérieuse se réveilla à tel point qu'il réclama un potage avec insistance. C'était le retour de la vraie faim physiologique. Et, fait remarquable, pendant toute la durée de son jeûne, cet officier qui avait auparavant des hallucinations et ne voulait pas être appelé par son nom, fut complètement débarrassé de ses troubles psychiques.
Le Dr Dewey cite également une demi douzaine de cas d'épilepsie guéris ou améliorés par la méthode du jeûne. Il cite entre autres le cas de cette jeune fille Mlle Kuenzel, une jeune personne de 22 ans, atteinte de mélancolie grave et qui avait été traitée dans une maison de santé par un gavage médicamenteux et par la suralimentation intensive.. Lorsqu'elle commença son jeûne, son état général était tel qu'elle pouvait à peine marcher ou même remuer dans son lit. Elle dut le garder jusqu'au 11ème jour ; à partir de ce moment elle commença à se lever et à faire des promenades journalières. Elle atteste avoir fait pendant son jeûne 179kms. "Je ne me sentais aucunement fatiguée, ni affaiblie, mais j'étais plus heureuse et plus gaie chaque jour de mon jeûne, car je sentais en quelque sorte une vie nouvelle se répandre dans tout mon être. Mon esprit devenait plus lucide et toute confusion mentale disparaissait. J'en éprouvais une réelle extase et la vie, au lieu d'un fardeau qu'elle était, me redevenait une vraie joie. J'ai passé une année d'indicibles tortures, produites par le surmenage et par la science des docteurs professeurs. J'étais prés de succomber mais grâce aux enseignements précieux du Dr Dewey je suis maintenant bien portante, forte et joyeuse". Et personnellement je puis témoigner que lorsqu'on jeûne on est capable de faire de longues randonnées sans fatigue.
Il faut avouer que ces affirmations péremptoires en disent plus long que de longues discussions académiques brillantes en théories scientifiques mais vides de preuves expérimentales.
Et le Dr Dewey fut en butte avec toute la science officielle bien sûr et fut victime d'une impitoyable opposition. "Mes confrères en médecine accueillirent ma méthode comme ils auraient accueilli une épidémie de petite vérole, ou bien une hérésie dont les suites constitueraient un danger social."
Et c'est souvent ainsi tous les jours, au nom de la théorie médicale scientifique, on ne se donne pas la peine de pratiquer des expériences de ce genre. On ne comprend pas et surtout on ne cherche pas à comprendre. Le malade lui-même demande avant tout un remède miracle, celui qui d'un coup de baguette magique, stoppe son mal. Et les médicaments ne manquent pas dans ce domaine qui savent masquer les symptômes, qui abrutissent le malade, mais au moins le patient ne pense plus à son mal, il ne pense plus du tout. Dans un autre contexte on appellerait cela de la drogue, mais dans le notre on appelle cela des médicaments.
Le jeûne délivre ces malades de leur asservissement toxique, leur fait récupérer du coup une santé et une vigueur nouvelle, pour leur plus grand profit et celui de leur entourage. Mais là encore il faut être prêt à participer, ce n'est plus le médecin qui guérit mais le malade lui-même qui agit. C'est déjà beaucoup moins facile. Et beaucoup moins marrant ! Et nous sommes beaucoup moins nombreux à l'avoir expérimenté. C'est tellement plus facile d'avaler des comprimés. Et en plus on nous a toujours dit qu'il fallait se tonifier, prendre des vitamines, manger pour être fort.
Le jeûne pour ces malades que l'on ne sait pas soigner est une formidable thérapeutique même pour les maladies les plus graves. Et le risque est minime car notre médecine officielle ne soigne aucune maladie du système nerveux donc au pire on ne perd rien. Et si ça peut vous rassurer les plus grands médecins ont approuvé cette thérapeutique et l'ont même pratiquée, les plus grands penseurs, sans parler des ascètes hindoux qui l'ont élevé au stade de la religion. Et si un jour vous essayez de jeûner vous vous rendrez compte des effets fabuleux que vous ressentirez sur votre psychisme, sur votre mental, sur l'ensemble de vos facultés intellectuelles, mémoire, moral, clairvoyance, etc...
Les docteurs Dewey, Hufeland et surtout le Dr Bertholet dans son ouvrage "retour à la santé et à la vie saine par le jeune" en ont beaucoup parlé et en sont arrivés à la conclusion que le jeûne était bien la thérapeutique de choix dans la plupart des affections nerveuses.
Citons le Dr Bertholet : "Nous ne comptons plus le nombre de malheureux asthéniques, obsédés, phobiques, agités ou déprimés, loques humaines, proies de la prostration et de l'insomnie chronique que nous avons rapidement soulagés par l'application de cette cure miraculeuse. C'est à cette occasion que nous avons pu porter un prompt secours à quantité de pauvres patients découragés par l'échec de cures médicamenteuses ou alimentaires prétendues fortifiantes".
Et le processus de désintoxication est toujours le même, les médicaments sont éliminés en premier lieu, par tous les émonctoires, par les sécrétions glandulaires et par la peau notamment. On constate souvent des poussées d'urticaire avec plaques rougeâtres qui correspondent à l'expulsion de ces poisons. Et dès que la désintoxication est terminée ces symptômes disparaissent comme par enchantement.
Toujours du Dr Bertholet : "Nous avons vu ainsi s'éliminer de vieux résidus de préparations arsenicales et mercurielles, absorbées 15 ans plus tôt, et qui avaient eu comme effet éloigné de laisser le malade dans un état de prostration inexplicable, en proie à des céphalées dont aucun traitement n'avait pu avoir raison ; Grâce à une série de jeûnes, tous ces symptômes morbides disparurent, permettant la reprise d'une vie supportable et active, ce qui était totalement impossible avant la cure."
Le Dr Hufeland cite dans son "art de prolonger la vie" plusieurs cas remarquables de guérison par le jeûne. Il s'agit d'un officier français malade depuis longtemps et tombé dans la mélancolie la plus noire. Il avait résolu de mettre fin à ses jours en se laissant mourir de faim ; La bonne idée - Durant les 39 premiers jours il ne prit qu'une petite quantité d'eau pure parfumée avec quelques gouttes d'extrait d'anis ; puis il cessa totalement de boire. Le 46ème jour de son jeûne volontaire il vit un enfant entrer dans sa chambre avec une tartine de beurre ; A ce spectacle, le sentiment de faim naturelle et impérieuse se réveilla à tel point qu'il réclama un potage avec insistance. C'était le retour de la vraie faim physiologique. Et, fait remarquable, pendant toute la durée de son jeûne, cet officier qui avait auparavant des hallucinations et ne voulait pas être appelé par son nom, fut complètement débarrassé de ses troubles psychiques.
Le Dr Dewey cite également une demi douzaine de cas d'épilepsie guéris ou améliorés par la méthode du jeûne. Il cite entre autres le cas de cette jeune fille Mlle Kuenzel, une jeune personne de 22 ans, atteinte de mélancolie grave et qui avait été traitée dans une maison de santé par un gavage médicamenteux et par la suralimentation intensive.. Lorsqu'elle commença son jeûne, son état général était tel qu'elle pouvait à peine marcher ou même remuer dans son lit. Elle dut le garder jusqu'au 11ème jour ; à partir de ce moment elle commença à se lever et à faire des promenades journalières. Elle atteste avoir fait pendant son jeûne 179kms. "Je ne me sentais aucunement fatiguée, ni affaiblie, mais j'étais plus heureuse et plus gaie chaque jour de mon jeûne, car je sentais en quelque sorte une vie nouvelle se répandre dans tout mon être. Mon esprit devenait plus lucide et toute confusion mentale disparaissait. J'en éprouvais une réelle extase et la vie, au lieu d'un fardeau qu'elle était, me redevenait une vraie joie. J'ai passé une année d'indicibles tortures, produites par le surmenage et par la science des docteurs professeurs. J'étais prés de succomber mais grâce aux enseignements précieux du Dr Dewey je suis maintenant bien portante, forte et joyeuse". Et personnellement je puis témoigner que lorsqu'on jeûne on est capable de faire de longues randonnées sans fatigue.
Il faut avouer que ces affirmations péremptoires en disent plus long que de longues discussions académiques brillantes en théories scientifiques mais vides de preuves expérimentales.
Et le Dr Dewey fut en butte avec toute la science officielle bien sûr et fut victime d'une impitoyable opposition. "Mes confrères en médecine accueillirent ma méthode comme ils auraient accueilli une épidémie de petite vérole, ou bien une hérésie dont les suites constitueraient un danger social."
Et c'est souvent ainsi tous les jours, au nom de la théorie médicale scientifique, on ne se donne pas la peine de pratiquer des expériences de ce genre. On ne comprend pas et surtout on ne cherche pas à comprendre. Le malade lui-même demande avant tout un remède miracle, celui qui d'un coup de baguette magique, stoppe son mal. Et les médicaments ne manquent pas dans ce domaine qui savent masquer les symptômes, qui abrutissent le malade, mais au moins le patient ne pense plus à son mal, il ne pense plus du tout. Dans un autre contexte on appellerait cela de la drogue, mais dans le notre on appelle cela des médicaments.
Le jeûne délivre ces malades de leur asservissement toxique, leur fait récupérer du coup une santé et une vigueur nouvelle, pour leur plus grand profit et celui de leur entourage. Mais là encore il faut être prêt à participer, ce n'est plus le médecin qui guérit mais le malade lui-même qui agit. C'est déjà beaucoup moins facile. Et beaucoup moins marrant ! Et nous sommes beaucoup moins nombreux à l'avoir expérimenté. C'est tellement plus facile d'avaler des comprimés. Et en plus on nous a toujours dit qu'il fallait se tonifier, prendre des vitamines, manger pour être fort.
Le jeûne pour ces malades que l'on ne sait pas soigner est une formidable thérapeutique même pour les maladies les plus graves. Et le risque est minime car notre médecine officielle ne soigne aucune maladie du système nerveux donc au pire on ne perd rien. Et si ça peut vous rassurer les plus grands médecins ont approuvé cette thérapeutique et l'ont même pratiquée, les plus grands penseurs, sans parler des ascètes hindoux qui l'ont élevé au stade de la religion. Et si un jour vous essayez de jeûner vous vous rendrez compte des effets fabuleux que vous ressentirez sur votre psychisme, sur votre mental, sur l'ensemble de vos facultés intellectuelles, mémoire, moral, clairvoyance, etc...