HORMONES DE SUBSTITUTION
Toutes les dames ont entendu parler du THS, comprenez "traitement hormonal de substitution" ; Certaines l'ont pratiqué ou le pratiquent à la ménopause. Et le débat fait rage : "Oui au THS" ou "Non au THS".
Un article du Lancet du 7 février 2004 : "Un essai thérapeutique de THS vient d'être interrompu chez les femmes ayant eu un cancer du sein" du fait des importants risques de récidive. Ces faits confirment les dangers désormais incontestables du THS.
Mais au sujet d'un traitement allopathique, je ne me permettrais pas d'intervenir, aussi je laisse parler le Professeur Joyeux, cancérologue, chirurgie digestive, à la faculté de médecine de Montpellier, spécialiste en nutrition, alimentation et cancer. Je suis allé sur son site et j'ai eu la grande joie de voir qu'un si grand Professeur préconisait le Jeûne et était adepte d'une alimentation tout à fait conforme à ce que nous disons sur ce blog. Au moins les yeux et esprits critiques qui suivent de trés prés ce blog ne pourront pas le cataloguer dans la catégorie "obscurantisme".
" Le débat est important : Il ne s'agit pas seulement de confort, mais de santé publique.
Un constat s'impose : 10 millions de femmes ménopausées prenant un comprimé par jour, quelle aubaine pour les laboratoires pharmaceutiques ! Il est astucieux de prescrire des traitements à des gens sains en leur faisant croire qu'on prévient des maladies : les gens sains sont bien plus nombreux que les malades ! Si la sécurité sociale prend en charge les traitements préventifs exigés par la santé, et les lobbies, on peut prévoir que son déficit n'est pas prêt de se réduire.
....Loin de nous l'idée de sous estimer l'importance de la contraception ou les désagréments de la ménopause. Ces derniers existent mais peuvent être neutralisés autrement, et sans médicament.
Ce qui est sûr : les études scientifiques américaines le démontrent, c'est que le THS augmente de façon non négligeable le risque de cancer du sein.
....l'augmentation du risque du cancer du sein semble indéniable. En réalité, cette augmentation ne "semble" pas, elle est indéniable. Pourquoi ne pas dire la réalité ? Le cancer du sein est devenu un authentique fléau social en France : 7000 nouveaux cas en 1975, 35000 en 1995, 41826 en 2000, avec pour perspective 50000 d'ici 2010.
Cette inquiétante croissance n'est due qu'en faible partie à un meilleur dépistage. Le cancer du sein touche de plus en plus de femmes jeunes et même trés jeunes. Ses traitements sont lourds et les taux de guérison à 10 ans ne progressent pratiquement pas. On ne peut sous-estimer aussi l'augmentation des complications cardiovasculaires qui obstruent les vaisseaux des membres ou du cerveau, d'où des pertes de mémoire allant jusqu'aux démences précoces. Tous ces troubles étaient prévisibles, comme les risques de cancer, quand on connait les effets expérimentaux de ces hormones.....Retrouvons le principe de précaution énoncé par un de nos collègues lyonnais dans une interview : "entre un cancer du sein difficile et lourd à guérir qui peut apparaître tôt avec le THS et une fracture du col de fémur, dont on ne meurt pas, le choix est vite fait, Non au THS".
"Chaque femme doit savoir que le THS peut être dangereux pour sa santé et qu'elle peut choisir une alternative écologique, plus efficace sur le long terme et beaucoup plus économique. Réduire progressivement le THS et le remplacer par des habitudes alimentaires nouvelles, voilà l'alternative. (Je précise à ce stade que c'est toujours le Pr Joyeux qui parle).
A la ménopause les ovaires réduisent la fabrication des 2 hormones, oestrogènes et progestérone. L'alternative se situe dans la consommation de phytohormones, présentes à doses homéopathiques dans notre alimentation.
Les phytohormones sont dans les fruits, les légumes et les légumineuses, les graines germées aussi, à des taux suffisants pour prévenir ou réduire les bouffées de châleur, éviter la sècheresse vaginale, l'ostéoporose et rester jeune.
Pour la plupart des femmes, l'avenir est dans le changement simple des habitudes alimentaires : pas de régime, simplement "manger mieux et meilleur", en commençant le plus tôt possible avant la ménopause.
Il faut savoir consommer les aliments sans que la cuisson ne les détériore.
La vapeur douce, (moins de 95°C) permet de garder toutes les qualités nutritionnelles des aliments. Les publicités ont 20 ans de retard sur la science : Les consommations excessives de laitages ne réduisent pas l'ostéoporose.
Le calcium, comme les phytohormones, ne sont bien absorbés que s'ils sont accompagnés de vitamine C et de fibres (fruits, légumes, légumineuses). Le temps de changer nos habitudes alimentaires, quelques compléments alimentaires peuvent être utiles pendant 2 - 3 mois.
Ainsi, "un bon menu vaut mieux qu'une ordonnance", pour garder la ligne et rester jeune naturellement."
http://www.professeur-joyeux.com
Si vous allez sur le site du Pr Joyeux vous trouverez en entête :
"Que votre aliment soit votre médicament" - Hippocrate.
Quelquefois on se sent en marge des gens, isolé, en marge des lois, à contresens, et voir qu'un Pr éminent comme le Pr Joyeux accrédite cette façon naturelle de se soigner, ça apporte un rayon de soleil et ça réconforte. Il n'est pas le seul, bien sûr, parmi les représentants de la médecine allopathique à pratiquer des méthodes naturelles, mais ils ne sont encore pas suffisamment nombreux pour crier au monde qu'il va dans le mur. On est conditionné depuis toujours à faire confiance à des gens comme le curé, l'instituteur et le Médecin. Et c'est bien que ce soit un médecin éminent qui témoigne.
Un article du Lancet du 7 février 2004 : "Un essai thérapeutique de THS vient d'être interrompu chez les femmes ayant eu un cancer du sein" du fait des importants risques de récidive. Ces faits confirment les dangers désormais incontestables du THS.
Mais au sujet d'un traitement allopathique, je ne me permettrais pas d'intervenir, aussi je laisse parler le Professeur Joyeux, cancérologue, chirurgie digestive, à la faculté de médecine de Montpellier, spécialiste en nutrition, alimentation et cancer. Je suis allé sur son site et j'ai eu la grande joie de voir qu'un si grand Professeur préconisait le Jeûne et était adepte d'une alimentation tout à fait conforme à ce que nous disons sur ce blog. Au moins les yeux et esprits critiques qui suivent de trés prés ce blog ne pourront pas le cataloguer dans la catégorie "obscurantisme".
" Le débat est important : Il ne s'agit pas seulement de confort, mais de santé publique.
Un constat s'impose : 10 millions de femmes ménopausées prenant un comprimé par jour, quelle aubaine pour les laboratoires pharmaceutiques ! Il est astucieux de prescrire des traitements à des gens sains en leur faisant croire qu'on prévient des maladies : les gens sains sont bien plus nombreux que les malades ! Si la sécurité sociale prend en charge les traitements préventifs exigés par la santé, et les lobbies, on peut prévoir que son déficit n'est pas prêt de se réduire.
....Loin de nous l'idée de sous estimer l'importance de la contraception ou les désagréments de la ménopause. Ces derniers existent mais peuvent être neutralisés autrement, et sans médicament.
Ce qui est sûr : les études scientifiques américaines le démontrent, c'est que le THS augmente de façon non négligeable le risque de cancer du sein.
....l'augmentation du risque du cancer du sein semble indéniable. En réalité, cette augmentation ne "semble" pas, elle est indéniable. Pourquoi ne pas dire la réalité ? Le cancer du sein est devenu un authentique fléau social en France : 7000 nouveaux cas en 1975, 35000 en 1995, 41826 en 2000, avec pour perspective 50000 d'ici 2010.
Cette inquiétante croissance n'est due qu'en faible partie à un meilleur dépistage. Le cancer du sein touche de plus en plus de femmes jeunes et même trés jeunes. Ses traitements sont lourds et les taux de guérison à 10 ans ne progressent pratiquement pas. On ne peut sous-estimer aussi l'augmentation des complications cardiovasculaires qui obstruent les vaisseaux des membres ou du cerveau, d'où des pertes de mémoire allant jusqu'aux démences précoces. Tous ces troubles étaient prévisibles, comme les risques de cancer, quand on connait les effets expérimentaux de ces hormones.....Retrouvons le principe de précaution énoncé par un de nos collègues lyonnais dans une interview : "entre un cancer du sein difficile et lourd à guérir qui peut apparaître tôt avec le THS et une fracture du col de fémur, dont on ne meurt pas, le choix est vite fait, Non au THS".
"Chaque femme doit savoir que le THS peut être dangereux pour sa santé et qu'elle peut choisir une alternative écologique, plus efficace sur le long terme et beaucoup plus économique. Réduire progressivement le THS et le remplacer par des habitudes alimentaires nouvelles, voilà l'alternative. (Je précise à ce stade que c'est toujours le Pr Joyeux qui parle).
A la ménopause les ovaires réduisent la fabrication des 2 hormones, oestrogènes et progestérone. L'alternative se situe dans la consommation de phytohormones, présentes à doses homéopathiques dans notre alimentation.
Les phytohormones sont dans les fruits, les légumes et les légumineuses, les graines germées aussi, à des taux suffisants pour prévenir ou réduire les bouffées de châleur, éviter la sècheresse vaginale, l'ostéoporose et rester jeune.
Pour la plupart des femmes, l'avenir est dans le changement simple des habitudes alimentaires : pas de régime, simplement "manger mieux et meilleur", en commençant le plus tôt possible avant la ménopause.
Il faut savoir consommer les aliments sans que la cuisson ne les détériore.
La vapeur douce, (moins de 95°C) permet de garder toutes les qualités nutritionnelles des aliments. Les publicités ont 20 ans de retard sur la science : Les consommations excessives de laitages ne réduisent pas l'ostéoporose.
Le calcium, comme les phytohormones, ne sont bien absorbés que s'ils sont accompagnés de vitamine C et de fibres (fruits, légumes, légumineuses). Le temps de changer nos habitudes alimentaires, quelques compléments alimentaires peuvent être utiles pendant 2 - 3 mois.
Ainsi, "un bon menu vaut mieux qu'une ordonnance", pour garder la ligne et rester jeune naturellement."
http://www.professeur-joyeux.com
Si vous allez sur le site du Pr Joyeux vous trouverez en entête :
"Que votre aliment soit votre médicament" - Hippocrate.
Quelquefois on se sent en marge des gens, isolé, en marge des lois, à contresens, et voir qu'un Pr éminent comme le Pr Joyeux accrédite cette façon naturelle de se soigner, ça apporte un rayon de soleil et ça réconforte. Il n'est pas le seul, bien sûr, parmi les représentants de la médecine allopathique à pratiquer des méthodes naturelles, mais ils ne sont encore pas suffisamment nombreux pour crier au monde qu'il va dans le mur. On est conditionné depuis toujours à faire confiance à des gens comme le curé, l'instituteur et le Médecin. Et c'est bien que ce soit un médecin éminent qui témoigne.