L'alimentation, un remède
Le père de tous nos médecins l'a bien dit : Hippocrate disait à tous ses disciples :
TA NOURRITURE SERA TON REMEDE
Nos médecins auraient-ils mal compris ? L'un d'entre eux m'a avoué qu'en 7 ans d'étude ils n'avaient pas étudié une seule heure l'alimentation. Et pourtant, avant d'obtenir leur diplôme, les médecins doivent prêter le serment d'Hippocrate. Il y a quelque chose de pas clair là dedans.
Au contraire de cela, nos scientifiques, bactériologistes, chimistes, chercheurs en tous genres s'efforcent de découvrir des panacées magiques, synthétiques, bien sûr, pour guérir toutes les maladies connues. De sorte que ce n'est plus "l'aliment sera ton remède" mais "ton remède sera ma toute dernière invention"
Résultat, il n'y a jamais eu autant de maladies incurables, les asiles d'aliénés sont pleins à ras bord, le cancer fait rage, les maladies cardiaques frappent à tour de bras.
Et nous sommes tellement conditionnés par cette façon de penser qu'il ne nous viendrait pas à l'idée de demander au médecin : "je suis malade, qu'est-ce que je dois manger ?", mais tout naturellement on lui demande un médicament, un comprimé, une piqûre, un suppositoire, la pillule miracle, quoi ! Il faut un traitement rapide, avec une drogue miracle qui, dès que vous l'avez avalé, supprime tous les symptômes. Sinon, bien sûr , ça n'est pas un bon médecin. Mais ils avaient la pénicilline, alors la pillule miracle était toute trouvée, les inconvénients on ne les voit pas tout de suite, par contre la maladie s'estompe rapidement, Victoire !
Le but de toute vraie médecine est en fait de prévenir toute maladie, de la guérir éventuellement et de prolonger la vie dans de bonnes conditions. Et même l'idéal de toute médecine serait de supprimer la nécessité du médecin. Un peuple en bonne santé doit pouvoir se passer de médecine. Chez nous il manque de plus en plus de médecins, ils n'y tiennent pas les pauvres. Je reconnais que leur vie n'est pas facile avec tous ces patients qui viennent chercher leurs médicaments. Le problème du médecin serait dix fois plus difficile s'il devait expliquer à chaque patient que dorénavant c'est lui qui devait faire les efforts pour se guérir et qu'à partir de ce jour il devait changer totalement sa façon de s'alimenter. Et ainsi à chaque patient, car l'alimentation des uns ne convient pas aux autres, et chaque malade est un cas particulier. Il faudrait qu'il puisse consacrer une bonne heure à chaque malade au lieu des 10 minutes aujourd'hui. Et en plus il faudrait qu'il explique que des symptômes douloureux allaient venir, naturellement, la nature fait un retour en arrière et ceux qui ont effectué un jeûne le savent bien. Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de malades pour accepter de faire un gros effort alimentaire et d'attendre plusieurs semaines ou plusieurs mois pour enfin se dire guéri. Le serpent se mord la queue. Le monde d'aujourd'hui n'est pas prêt à accepter une vraie médecine, celle d'Hippocrate. Lorsqu'on s'y résout c'est à la dernière extrémité, lorsque les médecins impuissants vous ont dit, vous êtes foutu et je ne peux rien pour vous. Et c'est hélas souvent trop tard !
Et pourtant le corps humain fonctionne grâce à la nourriture et à l'oxygène, comme une voiture avec l'essence. Nous sommes en quelque sorte une transformation des aliments. Si vous mettez une essence de mauvaise qualité la voiture ne marchera pas bien, comme nous. Les pâtisseries, les viandes grasses, le sucre, les aliments raffinés, ne sont pas une bonne essence pour notre moteur.
Nous sommes en France dans un pays riche, nous pourrions nous offrir de bons aliments, c'est une misère de voir que nous ne savons pas. Nous avons appris à aimer ces aliments morts, dévitalisés, lourds, que notre organisme tente difficilement d'assimiler.
Mais il a de la difficulté à faire face à 2 types de troubles : Il y a d'abord les microbes et virus qui veulent à tous prix l'aider à se débarrasser de cette gangue qui l'étouffe et puis il y a aussi les atteintes irréversibles dans notre chair, les maladies de dégénérescence, il meurt petit à petit malgré tous ses efforts pour nous maintenir en état de santé.
William Harvey a écrit : "Ce n'est que par la compréhension de la sagesse du corps que nous pourrons obtenir la maîtrise de la maladie et de la douleur et nous délivrer du fardeau de notre condition humaine".
Nous sommes essentiellement composés, comme tout être vivant, de protéïnes. Un régime sain doit être riche en protéïnes parce que cette précieuse substance est utilisée pour construire et réparer, pour entretenir la combustion afin de fournir de l'énergie. Et nous avons vu que le système immunitaire a besoin, pour nous protéger, de calories et de protéïnes, que les pays pauvres n'ont pas. Et voilà la misère, dans les pays riches nous en avons trop, et les pays pauvres n'en ont pas assez. La protéïne est réellement essentielle mais sous certaines conditions elle peut agir comme un véritable ennemi, un destructeur.
La protéïne est tellement essentielle que le corps n'en rejette pas l'excés, elle la stocke avec les conséquences que l'on connait sur le poids de nos concitoyens. La nature nous donne pourtant des indications. Le veau se développe trés vite avec le lait de sa mère la vache, riche en protéïnes de calcium et d'albumine. Le chevreau grandit moins vite parce que le lait de chèvre est moins riche en protéïnes. Alors lequel allons-nous prendre ? Le lait de vache, bien sûr. Plus un aliment est riche, plus il est prisé. Nous avons tellement peur de manquer de quelque chose. Est-ce qu'il nous convient ? c'est une question que nos scientifiques se poseront plus tard.
Au contraire les protéïnes nous, on les a mis à toutes les sauces et on les stocke dans des congélateurs pour ne pas en manquer. Mais on en fait de bonnes choses, des crèmes glacées par exemple. Tiens parlons-en. La congélation apporte sa pierre à l'édifice de la corruption physiologique. Des substances qui fermentent rapidement comme le lait, les crèmes, les fruits, se désagrègent dès qu'elles sont saisies par le froid. Mais dès que l'aliment décongèle le travail destructeur des bactéries reprend de plus belle et la crème glacée fond dans l'estomac, produisant ainsi un festin de cellules putréfiées à l'innombrable horde des minuscules charognards de notre système digestif. Mais tout cela a bon goût car c'est sucré, ça fait tout passer, d'autant plus qu'on a ajouté des parfums, comme pour embaumer ces aliments morts. Et le mélange avec d'autres sources de protéïnes dans l'estomac, c'est fabuleux pour le foie. Lorsque l'on sait que la putréfaction intestinale conditionne notre état de santé en général, nous avons ainsi tout faux. Alors les glaces et crèmes glacées au repas, mieux vaut s'abstenir.
Quant au lait nous en avons souvent parlé. Seul le bébé devrait en prendre et celui de la mère seulement. Ce qui avait fait dire à Oliver Wendell qu'"une paire de glandes mammaires substancielle avait l'avantage sur les deux hémisphères du cerveau du Professeur le plus érudit dans l'art de composer un liquide nutritif pour le nourrisson."
Donc les protéïnes oui, mais en quantité raisonnable, jamais deux sources au même repas, (soit de la viande ou du poisson, ou des oeufs), et ensuite des végétaux, fruits et légumes, en priorité crus.
Et si on mange peu, mais de tout, nous pourrons dire comme Hippocrate que notre aliment est notre meilleur et notre seul remède. Ceux d'entre vous qui mangent sainement savent bien que l'alimentation conditionne la santé. Et puis, il est plus important d'apporter de la vie aux ans, que des ans à la vie. Vivons pleinement le laps de temps que la vie nous accorde.
TA NOURRITURE SERA TON REMEDE
Nos médecins auraient-ils mal compris ? L'un d'entre eux m'a avoué qu'en 7 ans d'étude ils n'avaient pas étudié une seule heure l'alimentation. Et pourtant, avant d'obtenir leur diplôme, les médecins doivent prêter le serment d'Hippocrate. Il y a quelque chose de pas clair là dedans.
Au contraire de cela, nos scientifiques, bactériologistes, chimistes, chercheurs en tous genres s'efforcent de découvrir des panacées magiques, synthétiques, bien sûr, pour guérir toutes les maladies connues. De sorte que ce n'est plus "l'aliment sera ton remède" mais "ton remède sera ma toute dernière invention"
Résultat, il n'y a jamais eu autant de maladies incurables, les asiles d'aliénés sont pleins à ras bord, le cancer fait rage, les maladies cardiaques frappent à tour de bras.
Et nous sommes tellement conditionnés par cette façon de penser qu'il ne nous viendrait pas à l'idée de demander au médecin : "je suis malade, qu'est-ce que je dois manger ?", mais tout naturellement on lui demande un médicament, un comprimé, une piqûre, un suppositoire, la pillule miracle, quoi ! Il faut un traitement rapide, avec une drogue miracle qui, dès que vous l'avez avalé, supprime tous les symptômes. Sinon, bien sûr , ça n'est pas un bon médecin. Mais ils avaient la pénicilline, alors la pillule miracle était toute trouvée, les inconvénients on ne les voit pas tout de suite, par contre la maladie s'estompe rapidement, Victoire !
Le but de toute vraie médecine est en fait de prévenir toute maladie, de la guérir éventuellement et de prolonger la vie dans de bonnes conditions. Et même l'idéal de toute médecine serait de supprimer la nécessité du médecin. Un peuple en bonne santé doit pouvoir se passer de médecine. Chez nous il manque de plus en plus de médecins, ils n'y tiennent pas les pauvres. Je reconnais que leur vie n'est pas facile avec tous ces patients qui viennent chercher leurs médicaments. Le problème du médecin serait dix fois plus difficile s'il devait expliquer à chaque patient que dorénavant c'est lui qui devait faire les efforts pour se guérir et qu'à partir de ce jour il devait changer totalement sa façon de s'alimenter. Et ainsi à chaque patient, car l'alimentation des uns ne convient pas aux autres, et chaque malade est un cas particulier. Il faudrait qu'il puisse consacrer une bonne heure à chaque malade au lieu des 10 minutes aujourd'hui. Et en plus il faudrait qu'il explique que des symptômes douloureux allaient venir, naturellement, la nature fait un retour en arrière et ceux qui ont effectué un jeûne le savent bien. Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de malades pour accepter de faire un gros effort alimentaire et d'attendre plusieurs semaines ou plusieurs mois pour enfin se dire guéri. Le serpent se mord la queue. Le monde d'aujourd'hui n'est pas prêt à accepter une vraie médecine, celle d'Hippocrate. Lorsqu'on s'y résout c'est à la dernière extrémité, lorsque les médecins impuissants vous ont dit, vous êtes foutu et je ne peux rien pour vous. Et c'est hélas souvent trop tard !
Et pourtant le corps humain fonctionne grâce à la nourriture et à l'oxygène, comme une voiture avec l'essence. Nous sommes en quelque sorte une transformation des aliments. Si vous mettez une essence de mauvaise qualité la voiture ne marchera pas bien, comme nous. Les pâtisseries, les viandes grasses, le sucre, les aliments raffinés, ne sont pas une bonne essence pour notre moteur.
Nous sommes en France dans un pays riche, nous pourrions nous offrir de bons aliments, c'est une misère de voir que nous ne savons pas. Nous avons appris à aimer ces aliments morts, dévitalisés, lourds, que notre organisme tente difficilement d'assimiler.
Mais il a de la difficulté à faire face à 2 types de troubles : Il y a d'abord les microbes et virus qui veulent à tous prix l'aider à se débarrasser de cette gangue qui l'étouffe et puis il y a aussi les atteintes irréversibles dans notre chair, les maladies de dégénérescence, il meurt petit à petit malgré tous ses efforts pour nous maintenir en état de santé.
William Harvey a écrit : "Ce n'est que par la compréhension de la sagesse du corps que nous pourrons obtenir la maîtrise de la maladie et de la douleur et nous délivrer du fardeau de notre condition humaine".
Nous sommes essentiellement composés, comme tout être vivant, de protéïnes. Un régime sain doit être riche en protéïnes parce que cette précieuse substance est utilisée pour construire et réparer, pour entretenir la combustion afin de fournir de l'énergie. Et nous avons vu que le système immunitaire a besoin, pour nous protéger, de calories et de protéïnes, que les pays pauvres n'ont pas. Et voilà la misère, dans les pays riches nous en avons trop, et les pays pauvres n'en ont pas assez. La protéïne est réellement essentielle mais sous certaines conditions elle peut agir comme un véritable ennemi, un destructeur.
La protéïne est tellement essentielle que le corps n'en rejette pas l'excés, elle la stocke avec les conséquences que l'on connait sur le poids de nos concitoyens. La nature nous donne pourtant des indications. Le veau se développe trés vite avec le lait de sa mère la vache, riche en protéïnes de calcium et d'albumine. Le chevreau grandit moins vite parce que le lait de chèvre est moins riche en protéïnes. Alors lequel allons-nous prendre ? Le lait de vache, bien sûr. Plus un aliment est riche, plus il est prisé. Nous avons tellement peur de manquer de quelque chose. Est-ce qu'il nous convient ? c'est une question que nos scientifiques se poseront plus tard.
Au contraire les protéïnes nous, on les a mis à toutes les sauces et on les stocke dans des congélateurs pour ne pas en manquer. Mais on en fait de bonnes choses, des crèmes glacées par exemple. Tiens parlons-en. La congélation apporte sa pierre à l'édifice de la corruption physiologique. Des substances qui fermentent rapidement comme le lait, les crèmes, les fruits, se désagrègent dès qu'elles sont saisies par le froid. Mais dès que l'aliment décongèle le travail destructeur des bactéries reprend de plus belle et la crème glacée fond dans l'estomac, produisant ainsi un festin de cellules putréfiées à l'innombrable horde des minuscules charognards de notre système digestif. Mais tout cela a bon goût car c'est sucré, ça fait tout passer, d'autant plus qu'on a ajouté des parfums, comme pour embaumer ces aliments morts. Et le mélange avec d'autres sources de protéïnes dans l'estomac, c'est fabuleux pour le foie. Lorsque l'on sait que la putréfaction intestinale conditionne notre état de santé en général, nous avons ainsi tout faux. Alors les glaces et crèmes glacées au repas, mieux vaut s'abstenir.
Quant au lait nous en avons souvent parlé. Seul le bébé devrait en prendre et celui de la mère seulement. Ce qui avait fait dire à Oliver Wendell qu'"une paire de glandes mammaires substancielle avait l'avantage sur les deux hémisphères du cerveau du Professeur le plus érudit dans l'art de composer un liquide nutritif pour le nourrisson."
Donc les protéïnes oui, mais en quantité raisonnable, jamais deux sources au même repas, (soit de la viande ou du poisson, ou des oeufs), et ensuite des végétaux, fruits et légumes, en priorité crus.
Et si on mange peu, mais de tout, nous pourrons dire comme Hippocrate que notre aliment est notre meilleur et notre seul remède. Ceux d'entre vous qui mangent sainement savent bien que l'alimentation conditionne la santé. Et puis, il est plus important d'apporter de la vie aux ans, que des ans à la vie. Vivons pleinement le laps de temps que la vie nous accorde.