TEMOIGNAGES de GUERISONS PAR LE JEUNE
Toujours tirées du site de mes amis canadiens : http://jeune-et-sante.forumcanada.org/
J'ai jeûné 17 jours après 14 ans de souffrances de l'arthritisme (U. Micalizi)
Durant mon premier jour de jeûne les douleurs étaient intenses aux articulations des doigts du pied gauche. Ces douleurs cessèrent au second jour pour reprendre aux doigts de l'autre pied. Au troisième jour, les douleurs quittèrent le pied pour commencer au genou. Le quatrième jour, elles se déplacèrent à l'autre genou. C'est ainsi que le corps avait organisé merveilleusement son travail d'élimination. Chaque jour, il entreprenait de nettoyer une articulation différente. Pour assurer l'immobilité et donc le repos, le corps ankylosait (j'ai compris pourquoi l'hygiénisme refuse les massages en général et les exercices en cas de douleur) l'articulation durant toute la nuit. En même temps il lui envoyait beaucoup de sang pour dissoudre les toxines et les cristaux déposés, causant ainsi une forte inflammation et des douleurs inimaginables. Quand, dans l'espace d'une nuit, le travail d'élimination se terminait dans une articulation, celle-ci reprenait son allure normale: l'ankylose locale et l'inflammation disparaissaient. C'est ainsi que mes doigts, mes épaules et mes genoux avaient subi, chacun à tour de rôle, un nettoyage parfait. J'ajoute que par moments, je criais de douleur.
Mon pouls faisait par moment les 145 par minute et mon coeur battait fort. Je n'avais nulle crainte, car ayant étudié sérieusement la question du jeûne, je savais quels symptômes pouvaient survenir. Mon urine était couleur marron, toute chargée qu'elle était des toxines que les reins éliminaient. Bref, j'étais en train d'expier les débauches de ma vie passée.
Le rétablissement:
Vers le 17 ième jour de mon jeûne, les douleurs començaient à disparaître, ma langue saburrale devint rosée et l'urine claire.
Je coupai donc le jeûne en suçant quelques citrons acides le premier jour et que j'avais trouvé succulents.
Actuellement, ma santé est radieuse, et je suis délivré totalement de l'arthritisme qui m'a martyrisé durant 14 longues années.
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Ma tumeur résorbée en 30 jours (Mme Maury)
"À ma grande frayeur, je m'aperçu un beau matin de la présence d'une boule dans mon sein droit aussi grosse qu'une noix. Je perdis la tête, mais dans mon désarroi, je n'ai pas pensé à la médecine, ni à la chirurgie ... Je me suis procuré l'ouvrage du Dr Shelton, l'ayant lu, je me suis décidée à jeûner.
Je commençai donc le jêune qui dura 21 jours, alitée, buvant de l'eau à ma soif dans le but de permettre l'autolyse de ma tumeur.
Le premier jour s'est passé banalement. Le second jour ma bouche devint amère. Je ressentis une grande soif et des douleurs dans le sein en question ... Les douleurs au sein affecté étaient le signe certain du commencement du travail de résorption et de la désintégration de la tumeur. Ma langue ensuite devint très blanche.
Tous ces symtômes persistèrent et au douzième jour du jeûne, il se forma autour de ma langue une petite bordure rose qui s'élargissait un peu chaque jour.
Comme les douleurs dans mon sein persistaient sans violence, que l'amertume de ma bouche ainsi que la blancheur de ma langue ne diminuiaient que lentement, M. Mosséri m'expliqua que la désintoxication s'était ralentie, les réserves de sels minéraux baissaient sensiblement, le jeûne devenait alors moins rapide. Ma langue était encore chargée et j'avais envie de manger.
Pour hâter la désintoxication et prolonger donc le jeûne, 'prenez 3 feuilles de laitue non lavées, deux fois par jour, midi et soir' ordonna Mosséri.
Je pris donc ces feuilles de laitue qui sont très riches en sels minéraux basiques. Le résultat fut immédiat. En effet, deux jours plus tard, la douleur dans mon sein augmenta et ma température s'éleva à 37,5 oC. Ce sont d'excellents signes, me dit Mosséri.
La langue se chargeait de moins en moins et au 21 ième jour, elle devint presque entièrement rose. De toute évidence je compris que mon jeûne arrivait à terme, mais j'avais encore une température de 37,5 oC et une bouche un peu amère au lever. La tumeur à ce moment n'avait diminué que de moitié ou un peu plus, et j'ai même pensé que j'aurais besoin d'un second jeûne quelque temps après pour en finir avec ce qui restait.
Pour des raisons professionnelles, je coupais le jeûne le 22 ième jour avec le quart d'un pamplemousse dont je suçais le jus, 4 fois par jour. Peu à peu mes forces revinrent et je marchais chaque jour un peu plus, en plus des exercices couchée. Le 2 ème jour, la dose alimentaire fut doublée, puis triplée.
Le 25 ième jour, ma fièvre disparut et les douleurs aussi. Au 30 ième jour, j'avais oublié la raison de mon jeûne: la tumeur n'existait plus! Plus rien du tout. Elle avait sans doute disparu totalement depuis quelques jours, mais je ne l'ai remarqué qu'au 30 ième jour seulement. Quel bonheur, quel soulagement!
Et ce n'est pas le seul profit que j'aie tiré de ce jeûne. En effet, ma vue s'est améliorée sensiblement, je ne ressens plus ces maux au dos que j'ai toujours eus, ni les palpitations, ni la nervosité. Les menstruations que j'ai toujours eues très douloureuses et très pénibles, sont arrivées 3 fois depuis, sans douleur, ni fatigue, ni aucun malaise. C'est un miracle qui s'est opéré en moi."
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À 70 ans, il élimine: asthme, prostatite, impuissance, surdité, sinusite et bronchite en jeûnant 32 jours.
"Cet homme me fit un récit qui pourrait être répété un million de fois pour les cas d'asthme: injections d'adrénaline, suppositoires, amanophyline pour soulager les crises d'asthme, mais pas de régime spécial, aucune défense de fumer ni boire ...
Le jeûne
Il fut mis au lit pour jeûner. En 24 heures, il fut soulagé et respira aisément par la suite sans éprouver plus jamais de crise. Cet homme qui nous avoua avoir consulté 30 médecins tout long de ses 10 années d'asthme était maintenant sur le chemin d'un rétablissement total.
Son jeûne ne fut pas sans histoires. Sa prostate diminua de grosseur et devint enfin normale, ne mettant plus d'obstacle à l'écoulement de l'urine. Maintenant 9 mois après la fin de son jeûne, il est toujours délivré de ses vieux troubles prostatiques comme de ses crampes à la jambe. Son écoulement nasal, des sinus et de la trachée diminuèrent peu à peu jusqu'à l'arrêt total de ces affections. La toux cessa et il dormit nuit après nuit sans difficulté.
Au 24 ième jour de son jeûne, il voulut le rompre car il se sentait bien et voulait manger. Mais les symptômes d'éliminaton n'avaient pas cessé et j'ai pensé qu'il avait besoin de jeûner plus longtemps. Je le persuadai donc de poursuivre le jeûne.
Vers le 32 ième jour du jeûne, il recouvra son ouïe de l'oreille gauche. Neuf mois après, l'audition par l'oreille gauche demeure parfaite. Son impuissance aussi était passée.
Depuis son admission dans notre maison, cet homme avait cessé tout médicament et ne subit aucun traitement ni chimique ni naturel.
Quand le jeûne fut rompu, il commença plusieurs jours par la suite un peu d'exercice. Repos, au lit, eau, air et soleil, furent les seules choses dont cet homme fit usage pendant son jeûne ... si son jeûne avait été rompu au 24 ième, comme le malade le désirait, il n'aurait probablement pas recouvré son ouïe." (Shelton)