ATTENDRE D'ETRE MALADE ?
C’est curieux d’attendre d’être malade avant d’intervenir. Les orientaux payaient leur médecin pour qu’ils les gardent en bonne santé. Chez nous même les médecins attendent d’être malades pour se soigner. Mais à ce petit jeu, on risque d’intervenir trop tard, lorsque la maladie est devenue irréversible ou en tous cas lorsqu’elle a fait déjà beaucoup de dégâts.
Le Docteur Joseph LEVY, dans son livre, « la révolution silencieuse de la médecine », ose prétendre que prises à temps, toutes les maladies sont guérissables à 99%, y compris celles comme le cancer, ou tout simplement l’arthrose, l’artériosclérose, l’infarctus, la sclérose en plaques, la schizophrénie. C'est exactement ce que je pense mais c'est mieux si c'est un toubib qui le dit. Les moyens sont là, et ces moyens ne sont pas traumatisants, ils sont sans danger et naturels.
Mais comme la médecine classique est partie dans une mauvaise direction, elle ne s’attaque qu’aux symptômes existants, donc elle attend la maladie installée. Elle ne s’attaque qu’aux effets et non à la cause et donc il n’y aura qu’un effet palliatif et non curatif, c’est logique. Elle efface le mal apparent, c’est l’autruche. Et comme un malheur ne vient jamais seul, elle y ajoute une grosse pollution, car à ce stade il faut des médicaments très toxiques. Inutile de parler de ces traitements chimiothérapiques très lourds, à eux seuls ils peuvent tuer. En même temps que la tumeur, Ils détruisent le système de contrôle anti-tumoral rendant la récidive encore plus probable. C’est notre médecine légale. Pauvre HIPPOCRATE qui s’évertuait à déclarer « Primum non nocere » (d’abord ne pas nuire). Je crois qu’on doit l’empêcher de goûter au repos éternel.
Tout ça parce que l’on n’a pas voulu anticiper. Le médecin ne comprendrait pas si vous lui demandiez de rester en bonne santé. Lui il ne veut que des malades, sinon il se sent inutile. Limite il vous envoie consulter un psy, une telle façon de penser c’est déjà une maladie, il vous aura donc trouvé ce qui ne va pas chez vous, c’est la tête.
Une petite cure restrictive chaque année pourrait pourtant vous garder en bonne santé, tuer dans l’œuf toute modification de structure des cellules. De plus si, malgré tout, il y avait quelques cellules mutantes votre système immunitaire serait assez fort pour les tuer. Rappelez-vous, votre corps sait se guérir tout seul. Il n’a même pas besoin d’aide, il a simplement besoin que vous ne veniez pas entraver son travail. Le docteur GERNEZ l’avait compris depuis très longtemps, d’autres médecins ont ouvert les yeux, mais la plupart de nos scientifiques ont fermé les leurs. Trop simple je suppose, trop évident, ou peut-être trop à la solde des grandes puissances pharmaceutiques, puisque payés par elles.
Le cancer pourtant vous laisse largement le temps d’intervenir. Vous le savez avant que l’on puisse le voir (une tête d’épingle), lui, il a déjà de longues années de vie, jusqu’à des dizaines d’années pour certains cancers. La prévention a largement le temps d’être mise en place. Et il en est du cancer comme des maladies cardio-vasculaires, de l’arthrose et l’installation des maladies auto-immunes.
Notre système immunitaire est en mesure de tout contrôler, de tuer ces cellules mutantes. Nos globules blancs sont nettement plus forts que ces cellules malades, qui sont faibles et faciles à tuer pour nos éléments protecteurs, qui sont agressifs et intelligents et sont largement en mesure de gagner cette bataille.
Notre alimentation faite d’aliments de plus en plus raffinés ne nous fournit plus les éléments bâtisseurs, les éléments protecteurs. Le magnésium par exemple est cruellement en manque chez la plupart d’entre nous, mais aussi le zinc, le sélénium, les vitamines du groupe B (enveloppe des céréales), le bêta-carotène, précurseur de la vitamine A. Les chercheurs de Harvard ont même mesuré son impact dans la genèse du cancer. Avec une supplémentation en bêta-carotène ils en ont déduit que le taux de protection était de 82%. Autrement dit, des carottes tout simplement, n’en parlez pas trop autour de vous si vous ne voulez pas qu’on vous enferme en milieu psychiatrique.
La Bromélase extraite de l’ananas donne des résultats merveilleux dans la plupart des maladies cardio-vasculaires. Elle s’est révélé très efficace dans les suites de l’infarctus. Elle dissocie les plaques de cholestérol déposées sur les parois des artères. Je vous en ai parlé au sujet de l’hypertrophie de la prostate car elle est également anti-œdème.
Il faut que notre alimentation nous apporte suffisamment d’oligo-éléments et vitamines. Par exemple l’association sélénium et vitamine E qui agissent en association s’opposent à la destruction des membranes cellulaires par les radicaux libres, qui sont un facteur important de vieillissement accéléré, action anti-sénile donc. Et qui dit vieillissement dit porte ouverte à tout un tas de dégradations, de maladies.
On a remarqué également que le taux de silice bas dans l’organisme correspondait souvent à un état précancéreux. Il y a souvent décalcification et donc on ajoute du calcium aux traitements classiques . Hélas ce calcium est très souvent inassimilable et même Kervran (et moi-même), accusons le calcium de se fixer exactement là où il ne faut pas, c’est à dire au niveau de nos articulations ou de nos os, pour former ces douceurs que sont les rhumatismes et l’arthrose. De tous temps les anciens se soignaient avec la prêle reconnue pour être à la fois reminéralisante et diurétique. Mais nos scientifiques n’y ont pas trouvé du calcium dedans, alors leur premier travail a été de supprimer cette plante du codex. Heureusement Kervran lui a redonné ses lettres de noblesse. Et le silicium organique de la prêle a fait le reste.
Il ne faut pas oublier le pouvoir de la pensée. Les chagrins, les contrariétés, l’anxiété sont un poison pour notre organisme. Alors que des pensées de victoire, de sérénité, d’amour, sont une aide énorme pour gagner. Eloignez tout ce qui peut diminuer votre joie et cultivez la paix de l’âme et de l’esprit. Pensez par exemple à pratiquer la respiration abdominale le plus souvent possible et vous vous rendrez vite compte que c’est un facteur extrêmement intéressant pour retrouver le calme et la paix.
Rejetez cette attitude qui consiste à ne s’occuper de la maladie qu’une fois qu’elle est installée. Visionnez plutôt les signes avant-coureurs qui font suspecter une déficience quelque part. Une fatigue, un sommeil défectueux, un manque d’entrain, un manque d’enthousiasme, une petite éruption, un petit rhume, une petite douleur, une mauvaise haleine, une mauvaise digestion, un mauvais transit, etc... Voilà plein de petits signes qui doivent vous alerter et vous permettre de dire stop, c’est moi qui décide, Je ne laisse pas laisser s’installer un mauvais terrain et surtout je ne vais pas voir mon médecin afin qu’il me donne un médicament qui va ôter ce symptôme gênant. C’est moi le garant de mon corps et c’est à moi d'agir.
Nous le savons nous pouvons guérir aussi, mais c’est un mauvais calcul d’attendre que la maladie soit là car elle peut faire des dégâts. La santé c’est tous les jours qu’elle se construit, devant votre assiette, dans votre jardin, sur les chemins, même au travail. Ralentissez votre rythme, mangez sobrement, respirez par le ventre, votre deuxième cerveau et laissez la paix et la santé vous envahir.