CONNAITRE ET GUERIR LE CANCER
En France, le CANCER, c’est chaque année, près de 300000 nouveaux cas et 150000 en mourront. Le Cancer est donc loin d’être maîtrisé. Les scientifiques et cancérologues semblaient pourtant optimistes depuis plus de 40 ans. Surtout que même parmi les « sauvés », combien restent handicapés à vie à la suite des traitements lourds qu’ils ont subi. C’est un fiasco. Songez qu’entre 1980 et 2000, le nombre de nouveaux malades a augmenté de 63%.
Tous les 4 ans pourtant les plus grands cancérologues de cette planète se réunissent pour faire le point et leur constat est un constat de faillite, portant sur les 3 plans :
- le mécanisme de la cancérisation est toujours non élucidé.
- Absence de prévention générale
- Incapacité de réduire la courbe de mortalité.
On l’a traqué partout, le responsable a été un virus, les rayons X, la radioactivité, l’air, etc… pour en arriver à la conclusion que le responsable serait notre système immunitaire défaillant. Le criminel était dans la place et on le cherchait partout. Ce n’est que lorsque ce système immunitaire est défaillant que les cellules folles peuvent se multiplier. Au début, ce n’est qu’une cellule mère qui donnera 2 cellules filles, qui, à leur tour en donneront 4 et ainsi de suite jusqu’à 30 doublements pour arriver à 1 milliard de cellules, le cancer fait alors seulement une tête d’épingle et est donc détectable au bout de 3 ans d’existence pour certains cancers, au bout de 20 à 30 ans pour d’autres.
Pourquoi une cellule devient anarchique ? Hérédité, sûrement pour une partie, vie et alimentation moderne pour l’autre partie. L’utilisation du feu a profondément modifié le régime alimentaire des individus en dénaturant les aliments, en les triturant et en y introduisant des facteurs cancérigènes.
Pourtant nos défenses sont nombreuses et efficaces, les macrophages, les lymphocytes B et T, les cellules N.K. (tueurs naturels) et K (tueuses), le complément (système d’enzymes qui s’activent les unes les autres et qui peuvent tuer les cellules anormales.
La dissémination se fait par le processus de métastases qui peut emprunter 3 types de trajet : Une cavité naturelle, la circulation lymphatique ou la circulation sanguine. Chaque cancer a ses circuits préférentiels :
- Les cancers digestifs génèrent des métastases hépatiques
- Les cancers du poumon donneront des métastases variées, foie, os, peau, cerveau, ou glandes surrénales.
- Les cancers du sein ont des cibles multiples, poumons, os, foie, ovaires, cerveau et peau.
- En revanche le cancer de la prostate n’ira que vers les os.
Et malgré la détection de plus en plus précoce, une tumeur ne peut être détecté qu’à partir de la 6ème année d’évolution, dans le meilleur des cas. Traquer une tête d’épingle n’est pas facile.
Supprimer les facteurs de risque suppose de s’attaquer à des dizaines de milliers de facteurs.
André GERNEZ, Plus jeune médecin français de son temps (22 ans) a simplifié cette stratégie en faisant « comme si » on allait forcément avoir un cancer après 40 ans.
Sa technique : Mettre le corps en acidose, sous forme d’une cure mensuelle chaque année.
Le problème du cancer est un problème de TERRAIN et il faut donc posséder une vision holistique du corps dont sont bien incapable les chercheurs modernes, qui sont des ultra-spécialistes avec une champ de vision de plus en plus étroit. On ne regarde plus le malade, on ne voit que le cancer qu’on essaye de tuer par le fer, le feu, le poison, l’immunothérapie ou l’hormonothérapie,etc...
Pourtant, pour G. DOMAGK (prix Nobel de médecine) : « la tumeur n’est qu’un symptôme, elle n’est pas la maladie cancéreuse. »
Quant à Lewis THOMAS, président du Mémorial Sloan Kettering Cancer Center, le plus grand institut américain de recherche sur le cancer, a écrit dans son ouvrage « la méduse et l’escargot » : « Je ne doute pas que l’on découvre des dizaines de facteurs susceptibles de déclencher le cancer. Mais je crois aussi que l’on découvrira un mécanisme central, responsable de tous les cas et qu’il faut chercher ».
En 1970 à l’INSERM, sous la responsabilité du Pr. TRUHAUT, on met en application pratique la méthode d’André GERNEZ sur des rats chez qui on a greffé un cancer du foie : Résultat : 93% des rongeurs verront disparaître leur hépatome. Cette découverte était donc la plus sensationnelle de son temps. Les éditions de « la vie claire » ont réalisé une brochure d’information diffusée à 1 million d’exemplaires sur l’ensemble de la France "Comment éviter le cancer". Et pourtant ces résultats sont restés dans les tiroirs.
Pour le docteur GERNEZ, il s’agit de favoriser la lignée saine de l’ensemble cellulaire et de minorer la lignée cancéreuse, sous la forme d’un traitement inoffensif, essentiellement diététique (mise en acidose, apport de nutriments). Mais la méthode était trop simple (encore une fois) pour des cerveaux trop savants sans doute. Et l’invraisemblable suit l’incroyable, écrit le Dr WILLEM. La solution du cancer est trouvée, reconnue par les autorités scientifiques les plus élevées et pourtant, pendant des années, pas un seul mot sur la très grande découverte. On a pourtant distingué le Dr GERNEZ pour sa découverte. Le Pr Paul GELLE, Président de l’ordre des médecins lança un appel en 1971 pour faire bouger les choses : « Il ne s’agit pas de proposer ou de défendre une thèse, mais de rompre un silence volontairement érigé, concerté et maintenu, sans aucune justification d’ordre éthique et ce, en dépit de toutes les tentatives… Il s’agit d’un S.O.S. pour la fraction de la population en danger imminent ».
Hélas, à cela une simple raison, un malade est rentable. Il permet aux actions de l’industrie pharmaceutique de progresser. Votre cancer enrichit beaucoup de monde. « Le cancer n’est pas seulement la maladie du siècle, il est aussi le scandale du siècle » Dr WILLEM.
LA TECHNIQUE :
La première des conditions est la mise en acidose du terrain en réduisant la quantité alimentaire pendant 30 jours. Ne prendre qu’un seul repas par jour, mais équilibré, bien sûr, bien pourvu en vitamines et en minéraux, équilibré en protides, glucides, lipides.
Le Dr Roy WALFORD constata que lorsqu’on réduit d’un tiers la ration alimentaire des animaux d’expérience, les rongeurs ont jusqu’à 60% de cancers en moins.
Le savant REDING établit cette règle : « L’acidose constitue un état défavorable au développement de la cellule cancéreuse, l’alcalose contribue à son éclosion »
Le Pr Otto WARBURG fut le premier à l’expliquer : « A partir d’un certain degré d’acidification, le cancer ne peut plus utiliser le sucre, un carburant indispensable à son développement ». Cette observation lui valut le prix Nobel de médecine en 1931.
Le tissu cancéreux est avide de sucre. Les viandes grasses et les aliments riches en cholestérol favorisent l’éclosion du cancer.
« Une insuffisance en magnésium constitue un facteur favorable à l’ensemble des cellules cancéreuses.
Donc apport de magnésium systématique pour recharger les cellules saines. Si l’usage du magnésium se généralisait, le nombre de cancéreux diminuerait » Pr DELBET.
L’oxygène est favorable aux cellules saines, alors que les cellules cancéreuses supportent facilement un état de manque. Donc activité physique et vitamine C qui restitue l’oxygène aux tissus sains. Le cerveau est le plus gros consommateur d’oxygène (jusqu’à 10 fois plus que le muscle au repos.)
Des exemples naturels d’acidification ont été observés chez les Hounzas (Jeûne printanier systématique par manque de nourriture). Chez les habitants de VILCABAMBA, qui vivent dans la vallée des centenaires en Equateur et habitants d’OKINAWA, une île japonaise. Chez eux peu de cancers et d’infarctus. Leurs restrictions alimentaires saisonnières met leur biotope en acidose. Alimentation frugale, faible en calories, pauvre en graisse et en viande.
Le dr WILLEM donne une durée de cure d’acidification de 40 jours, chaque année au printemps.
Le phénomène d’acidification est facilement obtenu lors d’un jeûne. Le corps est aussitôt en acidose, on peut donc commencer cette cure de restriction alimentaire par 2 ou 3 jours de jeûne, ainsi la cure sera plus facilement accepté par la suite.
Le repas devra être équilibré, exempt de sucre et de produits raffinés (qui sont des sucres rapides, pain blanc, riz blanc, etc…). Curieusement le sucre de canne complet, non raffiné pourra être utilisé avec modération (n’oublions pas que la cellule cancéreuse est avide de sucre, donc prudence avec cette affirmation, d'autant plus que les candidas albicans, présents dans la plupart des cas, aiment beaucoup le sucre, quel qu'il soit) car ce sucre ne serait pas consommé par les cellules cancéreuses. Dr WILLEM.
A ce régime on ajoute l’oxygénation et une prise régulière de magnésium et de vitamine C.
Après les 30 premiers jours le dr WILLEM ajoute pendant 10 jours :
2 comprimés de COLCHICINE le matin (1mg)
le soir 1 à 2gr selon le poids d’hydrate de chloral
et il ajoute « ne pas procréer pendant la prise de ces médicaments. » Ces médicaments antimitotiques procèdent à une chasse terminale des micro cancers et des cellules viciées résiduelles.
L’ACIDOSE –
Le Ph (ou potentiel hydrogène) sanguin normal est de 7,10. La médecine moderne le situe à 7,4 ce qui correspond à l’alcalose. En-dessous de 7,10, le Ph est acide.
Lorsque le Ph sanguin évolue vers l’alcalose, il entraîne une diminution du champ magnétique. Et cela se vérifie dans le Cancer qui ne peut se développer dans un champ magnétique fort et équilibré.
TRUC : Il faut savoir qu’à une urine trop acide correspond une alcalose sanguine. C’est donc facile à contrôler avec des bandelettes achetées en pharmacie pour contrôler le Ph urinaire.
Quelques aliments acides et donc susceptibles de faire régresser vers la norme un terrain trop alcalin. :
Carottes, tomates, poireaux, ail, oignons, épinards, citron vert, pamplemousse, orange, raisin, pomme, pêche, pain complet, farine de seigle, germe de blé, jaune d’œuf, yaourt, moutarde, sucre de canne non raffiné, bière, vinaigre, et …. Champagne (ph 3,2), c'est mieux que d'utiliser la viande, les charcuteries, le sel, etc....
En fait pour l'idéal, il faut être légèrement alcalin en période de santé afin que l'organisme "tourne" harmonieusement et légèrement en acidose en période de maladie et en particulier de maladie par cancer qui nous préoccupe aujourd'hui. L'organisme s'adapte très bien à une légère acidose, même pendant une longue période, nos cellules saines aussi, pas les cellules cancéreuses. L'état de cétose est le principe curatif que l'on retrouve dans le jeûne, dans les régimes restrictifs, dans le régime cétogène comme dans le régime paléo.
Nous avons vu que le jeûne complet était excellent pour vous mettre aussitôt en acidose, mais vous avez également la macrobiotique que nous avons étudié et qui peut très facilement mettre en acidose. De ce fait, et comme le jeûne, elle est très efficace pour extirper le cancer.
« La marche demeure le sport royal parce qu’elle permet de se calmer, d’activer toutes les articulations, de ne pas accélérer le cœur, de prendre conscience de sa place, de sa déambulation dans le monde et aussi parce qu’elle se pratique généralement dans un environnement écologique favorable (campagne, forêt, montagne) » Dr WILLEM
C’est pour cela aussi que l’on observe peu de cancers du muscle gorgé d’acide lactique.
Louis-Claude VINCENT définit 4 terrains,dont le terrain acide s’opposant au développement des pathologies dégénératives et des pathologies virales.
Donc alcaliniser à tous prix n'est pas non plus la bonne solution, surtout en période de maladie et de cancer en particulier. L'alcalose serait plus dangereuse que l'acidose. En mangeant naturel, l'acidose est de toutes façons faible et demeure dans des limites très supportables pour notre équilibre acide-base, l'essentiel. Nos cellules saines n'en souffre pas et puis ce n'est que pour un temps, un temps de traitement. Il est toujours nécessaire de considérer le but recherché. On mange "pour se guérir" ou on mange "pour demeurer en bonne santé" et la différence est fondamentale.
PLANTES ET ELEMENTS NATURELS EFFICACES CONTRE LE CANCER :
Il existe d’autres plantes mais de celles-là on n’en entend très peu parler.
Le MORINDA CITRIFOLIA ou NONI : Cancer, hypertension, infections bactériennes, douleurs et maladies inflammatoires. Des études sur des souris cancéreuses ont montré son efficacité sur l’arrêt de la progression de la tumeur et une augmentation de la longévité. A prendre sous forme de jus de NONI, 2 c. à soupe par jour.
Le COROSSOL ou GRAVIOLA :
Etonnantes propriétés anti-tumorales d’un extrait de la feuille de cet arbre d’Amazonie. En 1976, le National Cancer Institute aux Etats-Unis reconnaît les propriétés anti-tumorales du GRAVIOLA. Des études réalisées en labo sur des cellules de cancer ont démontré que le Graviola était nettement plus puissant que l’Adriamycine, un remède utilisé en chimiothérapie anti-cancéreuse. Le Graviola exerçait son activité anti-tumorale uniquement sur les cellules cancéreuses sans affecter les cellules saines. Il est actif sur beaucoup de cancers mais surtout sur les adénocarcinomes, c’est à dire les cancers du sein, de l’intestin et du côlon, de la prostate, du pancréas, de l’ovaire, de l’utérus et du poumon.
Contre les adénocarcinomes quelques Huiles essentielles ont de réelles action anti-tumorales :
- L’Hélicryse italienne qui porte bien son nom d’Immortelle.
- Le ledon du Groenland
- l’HE du bois non écorcé de Callitris Intratopia (cyprès bleu d’Australie)
- Citons encore ici les produits du Dr es sciences BELJANSKI
- Voir le site du Dr SIMONCINI, le bicarbonate de soude et l'origine universelle des cancers par le candida albican voir article.
- La méthode BREUSS
- Le LAETRILE ou Vitamine B17 (Noyaux d'abricots) - Article
L’OAKY – Dérivé du chêne et utilisé en Corée et au Japon contre les morsures de serpent. C’est entre autres une anti-tumoral reconnu.
La MEGAMINE : Dérivé de la roche volcanique. Stabilisation de la prolifération et stimulation des cellules T ces cellules immunitaires, tueuses naturelles des cellules dysplasiques et cancéreuses. Des médecins de la polyclinique à Zagreb ont observé les effets de la mégamine sur 32 patients pendant 3 ans. Pour 16 d’entre eux qui n’ont pris que de la Mégamine pour traitement, voici les résultats : 81% des sujets donc 13 sur 16, ont eu une rémission complète au bout de ces 3 années. Il y avait parmi eux 4 mélanomes, 3 cancers du foie, 2 carcinomes, des bronches, 2 cancers de la prostate, 1 cancer de la vessie et 1 carcinome hépato-cellulaire.
- Une autre solution peu connue, l'huile de Cannabis, allez voir sur internet et ici par exemple, vous serez surpris. https://www.alchimiaweb.com/blogfr/huile-cannabis-rick-simpson/
Beaucoup de solutions comme vous le voyez. Certaines sont difficiles à faire mais d'autres sont très faciles à mettre en place. Ce n'est pas votre médecin qui va vous indiquer ces autres solutions, à vous de voir celle qui peut le mieux vous convenir. Dans tous les cas il faut privilégier un changement d'alimentation, amélioration en qualité et surtout en quantité.
Source : Prévenir et vaincre le cancer du dr Jean-Pierre WILLEM Editions Guy Trédaniel