LE SENS DE LA VIE - LE SENS DE LA MORT
Image tirée de l'ouvrage de Bernard JENSEN - The Science and Practice of Iridology (Bernard Jensen products)
C'est d'IRIDOLOGIE dont nous allons parler aujourd'hui.
Le sens de la vie c'est presque synonyme de force vitale.
L'oeil et plus particulièrement l'iris, est formé de plusieurs cercles à partir de la pupille et en allant vers la périphérie de l'oeil. Vous avez au centre les organes de digestion et, formant une sorte de barrière, la collerette sur laquelle nous trouvons les vertèbres, le système nerveux et toutes les glandes endocrines, je dirai donc, tous les organes principaux. Tellement principaux que c'est cette collerette qui a été l'objet de ma thèse d'iridologie. L'Iris est une sorte de roue de bicyclettes et à la place des rayons et partant de cette collerette nous trouvons la grande zone des organes, pour se terminer par la peau qui recouvre toute cette belle mécanique.
La force vitale s'exprime par une force centrifuge, qui partant du centre se projette vers la périphérie. Voyez par exemple comment les bébés qui ont une force vitale trés grande, arrivent à extirper la toxémie puissamment, en rejetant vers la peau tous ces encombrants. Vous aurez remarqué qu'ils font souvent de grosses éruptions de toutes sortes, mais aussi qu'ils s'en sortent trés vite. Le corps monte trés vite en température. La force vitale s'exprime de cette façon, plus les éruptions sont violentes, plus la force vitale est grande. Et d'ailleurs on n'observe ces violentes poussées que chez les jeunes enfants. Lorsque l'on trouve des éruptions chez les adultes ce sont des éruptions lentes, plus enracinées dans l'organisme, genre psoriasis, Ici, plus rien de violent, de fort, l'organisme se défend mal et laisse s'accumuler cette toxémie qu'il n'arrive plus à rejeter. La force vitale s'épuise. Cette force centrifuge s'exprime de moins en moins et c'est pourtant elle que j'appelle le SENS DE LA VIE.
Tant que cette force vitale, ou cette force centrifuge, s'exprime vous êtes dans une forme ascendante, vous êtes le plus fort et vous arrivez à extirper tout ce qui entrave la bonne marche de votre organisme. Pour être en bonne santé, et pour ne pas sentir le poids des ans, c'est cette force vitale qu'il faut cultiver. Ne soyez pas malheureux lorsque vous "attrapez" un gros rhume, c'est cette force vitale qui s'exprime, vous expulsez les scories accumulées, signe que votre force centrifuge est encore bonne et surtout n'essayez pas d'entraver cette "maladie" car vous luttez contre votre propre camp. Vous entravez cette force qui s'exprime à ce moment-là.
Toute maladie violente n'est autre que l'expression de cette force vitale et de ce pouvoir d'expulsion et vous l'aurez compris c'est une bonne chose pour vous. C'est le signe de votre tonus, de votre force vitale encore intacte. Bien sûr, c'est désagréable d'être malade et quelquefois la violence même de l'expulsion devient dangereuse et il sera bon de la canaliser, de la minimiser, mais avec toujours à l'esprit qu'il faut que cette force centrifuge s'exprime. Vous aurez remarqué également qu'aprés un bon rhume ou une grippe on se sent vidé mais aussi, on se sent propre, comme de nouveau tout neuf, on respire mieux, les muscles travaillent sans fatigue, même s'ils ont perdu du tonus. En fait, un peu comme aprés un jeûne. Affaibli, mais bien dans sa peau. Vous savez que votre organisme se défend bien, votre système immunitaire est là, bien présent et témoin et acteur de votre pouvoir centrifuge intact, vous êtes encore "dans le sens de la vie".
Mais qu'en est-il lorsque ce pouvoir diminue, lorsque les ans se sont accumulés et que cette force centrifuge diminue au point de ne plus pouvoir rejeter tout ce qui entrave la bonne marche de toutes nos fonctions ?
C'est dans cette période que vous vous rendez compte que vous n'avez plus ces gros rhumes et qu'à la place, vous avez une bronchite chronique qui n'en finit plus. Plus de température à 39-40, les troubles s'accompagnent de températures faiblardes à 37,5, 38 tout au plus, l'organisme bouge encore il veut se rebeller mais n'y arrive plus. Ce ne sont plus des éruptions violentes et courtes que nous observons mais des eczémas que plus rien n'arrête, l'organisme accumule, il existe encore un peu de force vitale mais pas assez pour éliminer les toxines qui encombrent votre organisme. Elles s'accumulent à la périphérie de l'iris et petit à petit gagnent tous les organes. Nous ne sommes plus dans le sens de la vie mais bien dans le sens retour, le SENS DE LA MORT. Ce n'est plus une force centrifuge qui domine mais bien une force centripète, qui, partant de la périphérie de l'iris, gagne peu à peu tous les organes, vous étouffant petit à petit, congestionnant tous les vaisseaux, sclérosant ces petits capillaires, et arrivant à former une zone claire comme un nuage recouvrant tous nos organes qui, partant de la périphérie vers le centre, vous accompagne pour un voyage sans retour. Vous n'êtes plus dans le sens de la vie, désormais c'est la force centripète qui domine, c'est le retour vers l'enfer ou le paradis, qui sait ?. Toutes ces forces qui vous ont aidé à bien vivre, comme votre système immunitaire, s'amenuisent et laissent s'accumuler ces nuages sur votre vie. Le ciel bleu et radieux de votre jeunesse a fui, les nuages se sont accumulés, vous êtes vieux, vos organes, vos muscles, ne répondent plus comme avant, eux aussi ont accumulé de la rouille.
Ces nuages blancs que l'on observe dans l'iris des vieux signent que vous êtes dans le sens du retour c'est le "gérontoxon". (A gauche sur l'image) Et ils vont en s'épaississant de plus en plus. D'abord on observe quelques petits nuages blancs à la périphérie de l'iris, puis ils arrivent à former un cercle complet, et enfin ils s'épaississent de la périphérie vers le centre de l'iris jusqu'à recouvrir tout l'iris. Vous l'avez compris, c'est le soir de votre vie et la mort est au bout du chemin. C'est le sens de la mort. Les nuages se sont accumulés sur votre vie, ce n'est pas Tchernobyl mais c'est tout comme, ce sont des nuages de mort.