MENSONGES DES ANTIDEPRESSEURS
Le journal 'LE POINT" du 10 décembre 2009 a publié une grande enquête sur l'efficacité des antidépresseurs, par Jean-Michel Décugis, Christophe Labbé et Olivia Recasens..
""Le 20 mars 1980, un chercheur des laboratoires GSK, N°2 mondial de l'industrie pharmaceutique, alerte sa hiérarchie. Le Paxil, L'antidépresseur vedette de la firme, donné à des rats en gestation a provoqué un nombre anormalement élevé de malformations congénitales.
11 ans plus tard le Paxil, vendu en France sous le nom de Deroxat, est au coeur d'un immense procés aux Etats-Unis. Des mères de famille auxquelles on a prescrit l'antidépresseur et qui ont donné naissance à des enfants souffrant de malformations cardiaques attaquent le labo. (600 plaintes).
Les antidépresseurs, on nous les a vendus comme les "pilules du bonheur" jusqu'à nous faire oublier qu'en les croquant on prenait aussi quelques risques. Les labos ont tellement embelli la mariée qu'elle leur a rapporté l'an dernier une dot de 15 milliards de dollars. Antidépresseurs, anxiolytiques ou neuroleptiques, un français sur trois goûtera au cours de sa vie, aux médicaments psychotropes. Rien que les antidépresseurs représentent 65 millions de boîtes par an en France.
Prenez les 4 antidépresseurs les plus consommés au monde : le prozac, le Deroxat, l'effexor et le Serzone, ne seraient pas plus efficaces qu'un placebo, c'est ce que révèlent 2 chercheurs à l'appui d'études tenues cachées montrant qu'ils n'avaient aucune efficacité. Et pourtant la firme Eli Lilly, au sujet du lancement du Prozac, brandissait pour convaincre les médecins, une étude sur plus de 2000 patients qui montrait une efficacité du Prozac dans plus de 70% des cas. A un petit détail prés qui n'était pas mentionné : la majorité des "cobayes" étaient également sous anxiolytiques.
Les labos ont d'autres astuces pour gonfler les performances de leur produit. Si le médicament a un effet sédatif, il suffit qu'il fasse mieux qu'un placebo pour être estampillé antidépresseur, décrypte la psychiatre Monique Debauche.
La plupart des essais cliniques sont financés par les firmes pharmaceutiques, insiste le docteur Debauche.
Pour lancer le produit les firmes confient à des agences de communication spécialisées le soin de rédiger des articles élogieux qui sont ensuite publiés dans des revues scientifiques sous la signature de "leaders d'opinion", qui sont des chercheurs reconnus dans leur domaine et qui acceptent, moyennant finance, d'apposer leur signature au bas des articles, sans parfois les avoir lus.
Le témoignage du docteur Philippe FOUCRAS, médecin généraliste est criant : Quand j'ai ouvert mon premier cabinet en 1994, les visiteurs médicaux des laboratoires ont fondu sur moi. Un gibier de choix. J'avais 2 patients par jour et je voyais jusqu'à 10 visiteurs médicaux par jour..... Tout est fait pour vous faire oublier que la personne en face de vous n'est qu'un commercial. Il emploie un vocabulaire technique en apparence objectif, qui est fait pour vous impressionner, vous montrer qu'il en sait plus que vous sur les médicaments......Le club de formation continue de la région, réunissait régulièrement les médecins généralistes dans un restaurant chic où un "leader d'opinion", spécialiste de la dépression venait faire une communication sur la maladie, sponsorisée par le laboratire du médicament en question. Depuis le Dr Foucras ne reçoit plus de visiteurs médicaux et s'est par contre abonné à la revue médicale "Prescrire" qui n'est pas sponsorisée par les labos. Il a créé par ailleurs le collectif pour l'indépendance de l'information médicale.
En France la consommation d'antidépresseurs a doublé en moins de 10 ans. 6 millions de Français sont actuellement sous antidépresseurs. Les antidépresseurs ont été détournés de leur usage initial, les dépressions sévères. Ils sont devenus des remèdes pour soigner le mal-être ou l'anxiété, regrette le neurologue Boris Cyrulnik. Les firmes ont réussi à convaincre de nombreux médecins que la tristesse ou l'anxiété faisaient parti des symptômes de la dépression et qu'il fallait les soigner avec des médicaments.
Faut-il pour autant jeter les psychotropes aux orties ? Les psys s'accordent à dire qu'ils sont nécessaires pour soulager les dépressions existentielles, mais qu'ils ne guérissent pas....
En augmentant la population sous psychotropes on fait remonter à la surface les effets secondaires. Les ISRS, présentés comme le nec plus ultra des antidépresseurs peut déclencher des comportements suicidaires, prévient David Healy. Les essais cliniques ont démontré que les patients sous ISRS ont deux fois plus de risques de passer à l'acte. Selon David Healy environ 50% des patients sous ISRS souffrent d'une baisse de la libido parfois accompagné d'une anesthésie génitale. Ces troubles peuvent durer des années aprés l'arrêt du traitement....
Par facilité, on bourre les personnes agées de psychotropes. La camisole chimique, c'est facile et discret. C'est moins de travail et plus de tranquillité pour tout le monde. Ainsi, une étude britannique récente portant sur 1000 personnes âgées sous neuroleptiques a relevé, aprés 3 mois de traitement 10 décés directement liés aux médicaments, ainsi que 18 accidents vasculaires cérébraux, dont la moitié particulièrement invalidants. Le problème des personnes âgées, c'est que chez elles, les organes qui, comme le foie ou les reins, permettent d'éliminer les résidus médicamenteux, fonctionnent au ralenti, souligne le Dr Armelle Desplanques. Moins il y a de personnel et plus la consommation de calmants augmente, constate Christophe Fernandez. Ca coûte moins cher de distribuer des médicaments que d'embaucher du personnel....""
Et la fin de l'étude mentionne qu'il existe d'autres façons de se soigner, plus naturellement et je suis heureux de constater que des médecins en sont arrivés à la conclusion que dans ce domaine, les méthodes naturelles étaient encore les meilleures. Ils en ont conclu que l'antidépresseur agit un peu comme un anti inflammatoire, qui gomme la douleur sans faire forcément disparaître la maladie, c'est une béquille qui permet d'avancer.
En premier Lieu comme méthodes plus naturelles ils citent le sport. Tiens, Tiens ! Il me semble en avoir parlé dans l'article "la dépression". Servan-Schreiber affirme que "l'exercice physique régulier permet de guérir des épisodes de dépression et permet probablement aussi de les éviter". "Le sport stimule dans le cerveau la sécrétion d'endorphines, des hormones euphorisantes comparables à l'opium. Plus on actionne notre pompe à endorphines, plus elle est prompte à s'enclencher à la moindre satisfaction. Les gens qui pratiquent régulièrement de l'exercice physique arrivent ainsi à retirer plus de plaisir des petites choses de la vie".
On y parle aussi des exercices respiratoires qui aident à mieux gérer le stress ou l'anxiété. Egalement de la lumière qui permet de synthétiser la mélatonine et la vitamine D, dont la carence est une des causes de dépression. Il y a aussi le millepertuis, aussi efficace que les antidépresseurs. Et puis, il y a aussi les aliments bénéfiques comme les graines de lin, les noix, l'huile de colza, les poissons gras, les légumes secs, les céréales complètes, les légumes verts, la banane, le chocolat noir, le vin rouge.
On dirait qu'il y a une prise de conscience, car non seulement il y a cet article où beaucoup de médecins s'expriment mais je me rends compte que la fameuse pandémie n'a pas terrorisé nos semblables, comme prévu. Les boniments ne font plus mouche et le peu d'empressement que les gens ont mis à se faire vacciner montre bien que nous ne sommes plus des moutons et qu'il sera de plus en plus difficile de nous manger la laine sur le dos. Le battage médiatique pour énoncer chaque décés dans le monde n'a pas porté ses fruits. Pour moi c'est un tournant de l'opinion publique, les gens commencent à ouvrir les yeux et se rendent compte qu'ils ne sont que des jouets entre les mains des puissants qui ne pensent qu'à vendre....n'importe quoi . Leurs souhaits, 80 millions de doses de vaccins tout de même, ne se sont pas réalisés. Le piège était fin prêt mais les français n'y sont pas tombés dedans. Même gratuit, personne n'en veut de leur vaccin. Pas plus les infirmières que la plupart des toubibs, il n'y a que la ministre pour se faire vacciner. Mais j'ai déjà entendu une petite voix qui disait : attention la deuxième vague de février va être terrible. Pas de chance, ça va tomber encore sur des pays sous-développés. Il faut bien écouler les stocks !