UN MEDECIN REVOLTE
Aujourd’hui, ce n’est pas moi qui écrit mais un médecin particulièrement révolté.
Je viens de terminer la lecture d’un bouquin : « Confessions d’un médecin révolté » du Professeur Peter YODA. Un vrai roman, mais un roman qui ne vous laissera pas indemne. Alors je tiens à préciser que ce nom n’est pas son nom car, cet homme, savant honnête et intègre, a dû se cacher physiquement sinon vous ne pourriez pas lire ce livre aujourd’hui. Oui, cela va jusque là, mais commençons par le début de l’histoire, histoire qui m’a tenu en haleine une seule journée car je ne pouvais plus me décoller de cet ouvrage, et j’en suis encore tout retourné.
Donc Peter YODA est professeur de médecine, enseignant même à d’autres professeurs, ce que l’on peut appeler un ponte dans sa partie, pas du tout un écervelé ni un farfelu. Evidemment lorsque vous arrivez à un tel stade de connaissances, vous êtes convaincu et convaincant. Et il l’était auprès de ses malades, n’hésitant pas à leur faire peur afin qu’ils puissent bénéficier des soins les plus efficaces connus à ce jour. Il l’était également auprès de ses élèves, les futurs professeurs.
Il était également très heureux dans la vie, une femme qu’il aimait et qui l’aimait. Jusqu’au jour où une radiographie de routine témoigne qu’il était atteint d’un cancer du poumon. Les statistiques dans son cas sont formelles, la survie à 5 ans maximun est extrêmement rare. Il est plus probable qu’il allait mourir dans l’année qui suivait.
Evidemment il connaissait beaucoup de monde dans le milieu et parmi eux, il appelle un ami d’enfance, un certain Karl. Il attendait que son ami lui donne des tuyaux médicaux mais son ami l’entraine vers une réunion secrète. Peter se retrouve devant des sommités qu’il reconnaît pour être des savants dans leur partie. Il s’étonne, craint d’être entrainé dans une sorte de secte et s’en plaint à son ami. Il voulait seulement de l’aide. Son ami lui déclare que ces gens sont en mesure de le guérir, ce qu’il ne croit pas bien sûr car il est très au courant de la gravité de son état et il sait donc qu’il n’a que quelques mois à vivre et qu’il n’y a aucun traitement connu qui puisse le sauver.
Ces supers savants commencent alors à lui ouvrir les yeux. Oui, la médecine n’était pas une science, la preuve, "interroges 3 professeurs et tu obtiens 3 réponses différentes". Rien à voir avec une science, c’est donc de l’empirisme. Les médecins ne connaissent rien sur la manière dont nos milliards de cellules parviennent à communiquer entre elles. Et par ailleurs il existe d’autres voies pour guérir des maladies comme le cancer. Il entre donc dans ce club très fermé de « chevaliers blancs » et là de nombreuses portes vont s’ouvrir devant lui, et quelles portes !.
On lui tient un tout autre discours que ceux qu’il avait l’habitude d’entendre.
La nature a fondamentalement raison. L’homme a en lui un mécanisme de réparation.(Article ) C’est pourquoi, notre premier devoir est de favoriser ce mécanisme et mettre tout en œuvre pour l’aider dans sa tâche. Les régulateurs les plus importants de notre corps sont la nourriture, le repos, la lumière et la fièvre (article et ICI). Il se rend compte alors que toutes les théories modernes font fausse route car elles bloquent tous ces mécanismes de réparation au lieu de les soutenir. Il s’agit des antibiotiques, des antalgiques, de la cortisone, des somnifères, des tranquillisants, et de la chimiothérapie en général. Et le système médical et l’industrie pharmaceutique ont aujourd’hui l’indicible arrogance de prétendre guérir des maladies. Il est obligé de le reconnaître devant ses nouveaux compagnons. Mais Peter ne comprend toujours pas pourquoi on peut guérir toutes ces maladies incurables et qu’on n’en parle pas dans les médias, les congrès médicaux, etc… On lui déclare que cela a été fait et ceux qui ont osé le faire ont été traînés dans la boue, les cancérologues en question ont été traités de charlatans, lorsqu’ils n’ont pas disparus accidentellement.
Le noeud de l’affaire, l’argent, bien sûr. La médecine est mondialement la plus grande source de profits qui soit. Les autres industries sont quantité négligeable à côté. Et, en matière de cancer, les thérapies qui ne coûtent rien ou presque, non brevetables, n’ont aucune chance d’être divulguées. Et toujours en matière de cancers, il n’y a rien de plus rentable que les chimiothérapies, les rayonnements et tous les médicaments brevetables, tous garantis par la science. Et on lui apprend également que toutes ces thérapies officielles sont cancérigènes, de sorte que les profits ne s’arrêtent pas de couler vers les mêmes poches. Le cancer de nos jours est une source inépuisable de profits… pour certains.
Je vous fais grâce de son cheminement vers la guérison, mais sachez que ce cher Professeur YODA est aujourd’hui encore bien vivant, 20 ans après sa condamnation à mort.
Ce qu’il dit de la maladie : Je vais vous expliquer ce qu’est la maladie et combien celle-ci est importante pour la santé. Le cancer, ou tout autre maladie, est très important pour la santé et aussi important pour la santé d’une personne que l’excès de poids ou la « perturbation hormonale » d’une femme enceinte. Ce sont des processus naturels et si les médecins comprenaient ce système de santé il n’y aurait simplement plus de maladies. Sauvés ? Non, au contraire, ce serait le chaos complet. Plus de médecins, puisque plus de maladies, plus de firmes pharmaceutiques, la face de la terre en serait changée, ce serait une révolution comme la terre n’en aurait jamais connue.
Pour comprendre que les maladies n’existent pas, il faut se pencher sur le passé et l’histoire de la médecine à travers les âges. Ce n’est que très récemment que l’on a cherché à mettre la faute sur quelqu’un d’autre que le patient lui-même. Lorsqu’il avait un problème on l’aidait à trouver ce qui ne convenait pas dans sa façon de vivre et c’était le patient lui-même qui devait œuvrer à son retour à la santé. Mais depuis Pasteur on a attribué le rôle du méchant aux microbes et aux virus. Cela a dédouané le patient qui était bien content au fond que ce ne soit pas sa faute, et cela a permis l’éclosion de ces grands groupes qui ont su exploiter le filon et se sont remplis les poches au dépens des malades. Certains ont bien essayé de prévenir ce scandale comme Claude Bernard « Le germe n’est rien, le terrain est tout », mais c’était un illuminé, il criait dans le désert. Max von Pettenkoffer de l’institut d’Hygiène de Munich avait, dès 1892, avalé publiquement une culture de bactéries de Choléra pour montrer que les bactéries ne peuvent pas tuer les hommes, et qu’il existait des cofacteurs, de terrain entre autres, mais je suppose que, comme moi, vous n’aviez jamais entendu des expériences comme celle-là. Et pourtant, elles ont été répétés à grande échelle.
Oui, vous en apprendrez de belles en lisant le livre de ce cher docteur YODA. En effet les tueurs ne sont pas des particuliers mais bien des états. On a administré sciemment des bactéries du choléra à un groupe de personnes sans les prévenir et … aucune n’est morte. L’expérience a été poursuivie. Un 2ème groupe s’est vu administrer des bactéries du choléra et en a été informé, tous sont morts. Dans un 3ème groupe les gens ont été informés qu’elles avaient bu des bactéries du choléra mais ce n’était pas vrai. Plus de la moitié dans ce 3ème groupe sont morts et vous avez bien lu, ils n’avaient pris aucun virus. En fait les bactéries, n’avaient aucune action, mais la peur que l’on diffusait aux malades en avait énormément. Et ce que l’on apprend dans ce livre c’est que les bactéries sont fondamentalement bienfaisantes et cela je le savais depuis longtemps puisque j’ai écrit déjà quelques articles là-dessus, mais les preuves ont été apportées par des expériences atroces comme celles que je viens de relater.
Les expériences prouvent qu’il est possible d’inculquer n’importe quelle maladie à pratiquement n’importe qui. « Vous avez un cancer, incurable, vous avez une leucémie, vous en avez au plus pour 6 mois », voilà des condamnations à mort. Et les médecins en toute bonne foi abondent dans ce sens. Hors plus vous avez PEUR (article), et plus vous devenez malade et plus vite vous allez mourir. Notre système médical est entièrement bâti sur la peur. Et je peux personnellement en témoigner. Je l’ai d’ailleurs fait dans ce blog plusieurs fois. On devait me couper le pied dans une semaine si je ne prenais pas des antibiotiques, je devais mourir d’une péritonite si on ne m’opérait pas tout de suite d’une appendicite. Hors à ce jour j’ai mes deux pieds, j’ai toujours mon appendice et ce n’est pas un fantôme qui écrit ces lignes, c’est bien moi. Heureusement que mes convictions étaient fortes mais ce n’est pas le cas de tous et il est bon que vous le sachiez.
Aujourd’hui on vous parle de cancer agressif mais aucune étude ni aucun généticien n’a encore trouvé de preuves pour affirmer qu’il existait des tumeurs agressives ou à croissance rapide. On n’a à ce jour aucune idée du temps qu’il faut à une tumeur pour grossir d’un centimètre.
Par contre ce que l’on sait c’est que plus on découvre un cancer tôt et plus le patient a des chances d’en mourir. Ah, elle est bonne celle-là ! Et bien oui et pour la meilleure des raisons c’est que l’on applique très tôt également la mise en place du traitement cancérinique, chimiothérapie et tout le bazar.
Les médecins ne font que transmettre les « bêtises apprises » et Peter YODA a été le premier à le reconnaître, il le faisait auprès des autres professeurs.
Le grand malheur c’est l’argent et la puissance qu’il confère à ceux qui le possède. Pour cela, et le livre de Peter YODA en témoigne, cela va jusqu’au meurtre, jusqu’au génocide. Quel est le moyen d’acquérir de l’argent et donc la puissance ? un levier sublime, la PEUR. Les campagnes de vaccination, les épidémies, nous en avons de pleines pages de nos magasines, à la télévision, mais de vrais informations pour votre santé, jamais !. Il y a des gens qui ont fait de longues études donc ils savent… mais il existe tant de personnes diplômées qui racontent des sottises.
Aujourd’hui au XXIème siècle, le sida est toujours là. Les gouvernements savent parfaitement qu’il n’existe pas de virus VIH qui engendre le SIDA, mais même le groupe de savants du fameux club où est allé Peter YODA ne peut rien contre ces choses, c’est un danger pour chacun d’entre eux de communiquer sur ce sujet. Un vrai roman policier en plus.
A l’avenir vous hésiterez à soutenir les campagnes publicitaires pour vous soutirer de l’argent pour la recherche sur le cancer, même si on vous présente des enfants chauves, « le nec plus ultra », pour décider les gens à donner. Vous savez aujourd’hui vers quelles poches vos dons vont aller.
Les médecins et les patients sont menés par le bout du nez par les firmes pharmaceutiques. D’ailleurs les médecins sont soumis à une sorte de lavage de cerveau durant leurs études. Ils croient fermement tous ces mensonges qu’on leur enseigne durant leurs études. On leur a fait miroiter qu’il existe des cellules malignes et que ces cellules doivent impérativement être tuées. On ne leur a jamais dit que ces mêmes cellules peuvent redevenir normales. Et l’enseignement des toubibs continue lorsqu’ils pratiquent. Les visiteurs médicaux apportent de nouveaux médicaments, toujours meilleurs que les précédents et pour remercier le docteur qui propage ces médicaments on lui fait quelques cadeaux. De cela je peux en témoigner, j’ai vu les caisses de champagne arriver, car j’étais le collaborateur de l’un de ces médecins dans mes jeunes années.
En fait, le système veut que ceux qui pourraient changer la loi soient ceux-là même qui ne voudront jamais la changer puisque ce sont eux qui en profitent le plus. Une logique implacable. Cherchez où sont les dindons dans cette vaste farce … Les thérapies ne sont utiles qu’à ceux qui les vendent.
Je pourrais vous dire toutes les énormités que j’ai lues, à peine pensables pour notre entendement, mais je vous conseille de lire ce super ouvrage de Peter YODA. Vous y verrez comment se construit une fortune très rapidement, les techniques de vente qui permettent de bien vendre le cancer, c’est prodigieux, et encore plus prodigieux le fait que ce livre soit encore en vente libre.
Je ne sais si ce pauvre Peter YODA lira un jour cet article, mais si oui, je le remercie pour son courage et je lui souhaite de couler des jours heureux, lui qui a tout risqué, tout abandonné, jusqu’à son nom pour témoigner de l’ignominie de ce système.
Attention prévoyez une nuit sans sommeil.
Source : « Confessions d’un médecin révolté » du Professeur Peter YODA : Editions Alain Labussière
A ce sujet, j’ai déjà essayé de me procurer ce bouquin car j’en avais entendu parler par l’un d’entre vous et je ne l’ai pas trouvé ni n’ai pas pu me le procurer dans la plus grande librairie d’Alès. Etonnant non ? S’adresser directement aux Editions Labussière