La BLENNORAGIE
Aprés la libido quoi de plus logique de voir ensembles, la blennoragie ! Ou peut-être j'aurais dû le mettre avant afin de ne pas y tomber dedans.
C'est une maladie presque toujours vénérienne qui est surtout transmise par contact des organes génitaux et quelquefois, plus rarement, par contacts accidentels comme sièges de cuvette WC, objets souillés, etc...et elle est causée par le gonocoque de Neisser.
Cette maladie se traduit par un écoulement épais des muqueuses en question. On l'appelle aussi chaude-pisse on comprend bien pourquoi, ça brûle quand on urine. Et la durée d'incubation est de 5 à 8 jours aprés le contact souillé.
Il y a tuméfaction du gland et du méat urinaire, souvent une adénopathie inguinale, la miction et l'érection sont douloureuses et quelquefois on note un écoulement sanguin et purulent. C'est une maladie bénigne mais qui peut avoir de graves conséquences. Même aprés traitement médical aux antibiotiques on note des prostatites, épididymites, orchites, cystites, pyolonéphrites, endocardites blennorragiques, ophtalmies blennorragiques, la chronicité des troubles (ce que l'on appelle la goutte militaire), une éventuelle stérilité et même l'impuissance, des rhumatismes. Chez les dames comme complications secondaires, des endométrites, des salpingites, grossesses extra-utérines, etc... Donc si cette maladie fait sourire dans un premier temps, il ne faut pas la prendre à la légère. Je me souviens à l'armée et aprés la permission du week-end, nous avions tout un pan de mur occupé par des jeunes qui faisait tremper leur instrument dans un bol de bleu de méthylène, c'était cocasse. Même si on n'en entend pas beaucoup parler, et pour cause, on n'en est pas fier, c'est une maladie trés répandue.
C'est une maladie sexuellement transmissible et il faudra que le patient infecté soit prudent, même avec lui-même. Ne pas se frotter les yeux, par exemple, aprés avoir touché le membre infecté.
Cela commence toujours par une légère démangeaison mais il y a déjà suppuration et dès le lendemain, la maladie se sera développée et à partir de ce moment-là plus de doute, suppuration abondante et douleurs à la miction témoigneront du diagnostic
TRAITEMENTS NATURELS :
ALIMENTATION : C'est par là que tout commence. Il est absolument nécessaire d'observer une reprise en main de la façon de s'alimenter. Bien sûr avec des antibiotiques nous allons faire régresser l'infection mais nous ne limiterions pas les effets secondaires possibles. Aussi c'est tout l'ensemble de l'organisme que nous devons soigner et non pas seulement la partie infectée qui n'est que l'arbre qui cache la forêt. Et comment mieux que par l'alimentation y arriverions-nous ?
Le jeûne est tout indiqué. Et dans ce cas il serait bon de débuter le jeûne par un lavement pour démarrer avec un intestin propre, le jeûne n'en sera que plus efficace. Alterner jeûne sec (sans boire) et jeûne hydrique (avec de l'eau). Il n'est pas besoin d'effectuer un grand jeûne mais un jeûne de 3 jours par exemple suivi par une diététique appropriée sera tout à fait indiqué. 2 jours secs et le dernier jour, boire à sa soif (de l'eau, bien entendu). Ce serait un bon début. Bien sûr si vous vous sentez de faire plus, c'est la thérapeutique majeure dans ce cas, n'hésitez pas. Il faut savoir que les thérapeutiques à base de pénicilline ou autres antibiotiques puissants sont en échec sur ce sujet. Ils arrêtent les manifestations mais presque toujours il y a une recrudescence derrière, ce que l'on ne retrouve pas lorsque l'on entreprend de se soigner par des méthodes naturelles qui soignent profondément et guérissent définitivement.
Ensuite il serait bon de continuer avec une diététique d'élimination comme la macrobiotique, ou alors remplacer un des deux gros repas par une monodiète pendant 15 jours, ou encore veiller à ne manger que trés peu, sans aucun produit animal, laitages ni aucun sucre. Et il faudra faire attention à son alimentation pendant un bon mois.
- Localement prendre des bains. Tremper les organes génitaux 3 fois par jour dans une tisane de bruyère chaude. En plus de vous apporter un soulagement cela maintiendra un état de propreté indispensable. On peut ajouter des huiles essentielles dans l'eau du bain, comme quelques gouttes de Lavande, thym, Origan, toutes trés bactéricides.
- Chez les dames, cette maladie est plus facile à soigner et ne se développe pas aussi souvent que chez les hommes mais si c'est le cas des lavages vaginaux alcalins avec par exemple une cuiller à dessert de bicarbonate de soude dans un litre d'eau 3 à 4 fois par jour seront nécessaires. Il faut traiter trés vite afin que l'infection ne gagne pas le col de l'utérus ou même les trompes de Fallope car la maladie durerait beaucoup plus.
- Il ne faut pas hésiter à exposer ses organes génitaux au soleil car les bains de soleil sont un facteur de résistance aux infections non négligeable. Et ça va sans dire que pendant toute la durée du traitement les rapports sexuels sont prohibés. Pour le malade (même avec préservatif) et bien sûr pour le conjoint ou autre.
- Contre les douleurs, des bains de siège chauds et froids en alternance sont bénéfiques et même certains leur accordent une vertu curative. Surtout lorsque dans l'eau du bain on mélange soit des tisanes anti-infectieuses soit des huiles essentielles qui sont pratiquement toutes bactéricides.(surtout celles citées plus haut )
- Si l'on veut faire une cure de fruits ou de jus de fruits (pas en plus des repas, mais à la place) privilégier les cerises si c'est la saison (anti-infectieux) ou les myrtilles (bactéricide puissant).
- Il sera bon de vous supplémenter en magnésium pendant la durée du traitement ; il a un pouvoir anti-infectieux trés important.
- Pour prévenir les suites éventuelles de blennorragies prendre 2 fois par jour 5 gouttes dans un demi-verre d'eau, de THUYA teinture mère.
HOMEOPATHIE :
- CANNABIS SATIVA - le chanvre - Pour l'inflammation de l'urêtre avec de fortes douleurs, pires à la miction, avant, pendant et surtout Aprés. Une grande sensibilité au toucher de l'urêtre et du pénis, forçant même à marcher les jambes écartées. Les mictions sont fréquentes et peu abondantes. à prendre en 4CH 3granules 3x/jour.
- MERCURIUS CORROSIVUS : Inflammation trés irritante des muqueuses du gros intestin, du pharynx, des reins, de la vessie ou des yeux avec sensation de brûlure, ulcérations et, pour le rectum et la vessie, ténesme intense. On l'utilise contre les néphrites, les cystites aigues, l'urétrite et la vulvo-vaginite aigue. Toujours en 4CH, 3gr 3x/jour.
- ARGENTUM NITRICUM : Toutes les inflammations des muqueuses et dans le cas qui nous intéresse aujourd'hui, de la vessie et de l'urêtre. Avec brûlures à la miction, sensation d'écharde, tendance à la chronicité. Les sécrétions muco-purulentes assez épaisses et irritantes. En 5CH 3 gr 3x/jour.
Et en traitement de fond : 1 dose en alternant tous les 15 jours de :
BIOTHERAPIQUE GONOTOXINUM 7CH et
THUYA 7CH
AROMATHERAPIE :
AIL : L'essence d'ail est antiseptique, antitoxique, antiputride, bactéricide. On l'utilise en usage interne contre la blennorragie.
CAJEPUT : Antispasmodique et antiseptique et également sédatif. On l'utilise contre les cystites, les urétrites, les métrites, les néphrites, les blennorragies.
GENIEVRE : L'essence de genièvre est un antiseptique intégral, désinfectant, antitoxique. On l'utilise contre les putréfactions intestinales, les affections des voies urinaires, reins vessie, urêtre, uretères. Toutes les inflammations aigues comme dans le cas de la blennorragie, avec écoulement de pus.
HYSOPE : Contre les diverses inflammations, intestinales, cutanées, viscérales et dans les blennorragies pour ce qui nous concerne aujourd'hui
LAVANDE OFFICINALE ou lavande vraie : Nous l'avons vu la lavande sera trés utile dans ce cas. C'est un antiseptique intestinal, urinaire, trés bactéricide (tue les bacilles dits pathogènes), désintoxicante. Utilisée dans les maladies infectieuses comme syphilis, blennorragie, cystite, urétrites, vaginite, vulvite.
NIAOULI : Antiseptique général, désinfecte les voies intestinales, urinaires et bronchiques, calme la douleur (analgésique). On l'utilise dans les cystites, urétrites, vulvites, vaginites, salpingites, métrites, blennorragies.
PERSIL : Antiseptique, antiputride, améliore la vitalité et l'état général. Utilisée contre les rétentions d'urine, la gangrène, la syphilis, la blennorragie.
ROMARIN : Désintoxicante, antitoxique. L'essence de romarin s'oppose aux fermentations anormales et aux débacles intestinales, fait disparaitre l'inflammation et la douleur. Utilisée contre péritonite, entérite, salpingite, métrite, vulvite, urétrite, cystite, blennorragie, syphilis.
SANTAL : Antiseptique urinaire et pulmonaire, antitoxique. Utilisée contre blennorragie, cystite, métrite, urétrite, néphrite, prostatite.
SASSAFRAS : Contre les affections génito-urinaires comme blennorragie, inflammations de l'urètre, du vagin, de la vulve, contre la syphilis.
C'est une maladie presque toujours vénérienne qui est surtout transmise par contact des organes génitaux et quelquefois, plus rarement, par contacts accidentels comme sièges de cuvette WC, objets souillés, etc...et elle est causée par le gonocoque de Neisser.
Cette maladie se traduit par un écoulement épais des muqueuses en question. On l'appelle aussi chaude-pisse on comprend bien pourquoi, ça brûle quand on urine. Et la durée d'incubation est de 5 à 8 jours aprés le contact souillé.
Il y a tuméfaction du gland et du méat urinaire, souvent une adénopathie inguinale, la miction et l'érection sont douloureuses et quelquefois on note un écoulement sanguin et purulent. C'est une maladie bénigne mais qui peut avoir de graves conséquences. Même aprés traitement médical aux antibiotiques on note des prostatites, épididymites, orchites, cystites, pyolonéphrites, endocardites blennorragiques, ophtalmies blennorragiques, la chronicité des troubles (ce que l'on appelle la goutte militaire), une éventuelle stérilité et même l'impuissance, des rhumatismes. Chez les dames comme complications secondaires, des endométrites, des salpingites, grossesses extra-utérines, etc... Donc si cette maladie fait sourire dans un premier temps, il ne faut pas la prendre à la légère. Je me souviens à l'armée et aprés la permission du week-end, nous avions tout un pan de mur occupé par des jeunes qui faisait tremper leur instrument dans un bol de bleu de méthylène, c'était cocasse. Même si on n'en entend pas beaucoup parler, et pour cause, on n'en est pas fier, c'est une maladie trés répandue.
C'est une maladie sexuellement transmissible et il faudra que le patient infecté soit prudent, même avec lui-même. Ne pas se frotter les yeux, par exemple, aprés avoir touché le membre infecté.
Cela commence toujours par une légère démangeaison mais il y a déjà suppuration et dès le lendemain, la maladie se sera développée et à partir de ce moment-là plus de doute, suppuration abondante et douleurs à la miction témoigneront du diagnostic
TRAITEMENTS NATURELS :
ALIMENTATION : C'est par là que tout commence. Il est absolument nécessaire d'observer une reprise en main de la façon de s'alimenter. Bien sûr avec des antibiotiques nous allons faire régresser l'infection mais nous ne limiterions pas les effets secondaires possibles. Aussi c'est tout l'ensemble de l'organisme que nous devons soigner et non pas seulement la partie infectée qui n'est que l'arbre qui cache la forêt. Et comment mieux que par l'alimentation y arriverions-nous ?
Le jeûne est tout indiqué. Et dans ce cas il serait bon de débuter le jeûne par un lavement pour démarrer avec un intestin propre, le jeûne n'en sera que plus efficace. Alterner jeûne sec (sans boire) et jeûne hydrique (avec de l'eau). Il n'est pas besoin d'effectuer un grand jeûne mais un jeûne de 3 jours par exemple suivi par une diététique appropriée sera tout à fait indiqué. 2 jours secs et le dernier jour, boire à sa soif (de l'eau, bien entendu). Ce serait un bon début. Bien sûr si vous vous sentez de faire plus, c'est la thérapeutique majeure dans ce cas, n'hésitez pas. Il faut savoir que les thérapeutiques à base de pénicilline ou autres antibiotiques puissants sont en échec sur ce sujet. Ils arrêtent les manifestations mais presque toujours il y a une recrudescence derrière, ce que l'on ne retrouve pas lorsque l'on entreprend de se soigner par des méthodes naturelles qui soignent profondément et guérissent définitivement.
Ensuite il serait bon de continuer avec une diététique d'élimination comme la macrobiotique, ou alors remplacer un des deux gros repas par une monodiète pendant 15 jours, ou encore veiller à ne manger que trés peu, sans aucun produit animal, laitages ni aucun sucre. Et il faudra faire attention à son alimentation pendant un bon mois.
- Localement prendre des bains. Tremper les organes génitaux 3 fois par jour dans une tisane de bruyère chaude. En plus de vous apporter un soulagement cela maintiendra un état de propreté indispensable. On peut ajouter des huiles essentielles dans l'eau du bain, comme quelques gouttes de Lavande, thym, Origan, toutes trés bactéricides.
- Chez les dames, cette maladie est plus facile à soigner et ne se développe pas aussi souvent que chez les hommes mais si c'est le cas des lavages vaginaux alcalins avec par exemple une cuiller à dessert de bicarbonate de soude dans un litre d'eau 3 à 4 fois par jour seront nécessaires. Il faut traiter trés vite afin que l'infection ne gagne pas le col de l'utérus ou même les trompes de Fallope car la maladie durerait beaucoup plus.
- Il ne faut pas hésiter à exposer ses organes génitaux au soleil car les bains de soleil sont un facteur de résistance aux infections non négligeable. Et ça va sans dire que pendant toute la durée du traitement les rapports sexuels sont prohibés. Pour le malade (même avec préservatif) et bien sûr pour le conjoint ou autre.
- Contre les douleurs, des bains de siège chauds et froids en alternance sont bénéfiques et même certains leur accordent une vertu curative. Surtout lorsque dans l'eau du bain on mélange soit des tisanes anti-infectieuses soit des huiles essentielles qui sont pratiquement toutes bactéricides.(surtout celles citées plus haut )
- Si l'on veut faire une cure de fruits ou de jus de fruits (pas en plus des repas, mais à la place) privilégier les cerises si c'est la saison (anti-infectieux) ou les myrtilles (bactéricide puissant).
- Il sera bon de vous supplémenter en magnésium pendant la durée du traitement ; il a un pouvoir anti-infectieux trés important.
- Pour prévenir les suites éventuelles de blennorragies prendre 2 fois par jour 5 gouttes dans un demi-verre d'eau, de THUYA teinture mère.
HOMEOPATHIE :
- CANNABIS SATIVA - le chanvre - Pour l'inflammation de l'urêtre avec de fortes douleurs, pires à la miction, avant, pendant et surtout Aprés. Une grande sensibilité au toucher de l'urêtre et du pénis, forçant même à marcher les jambes écartées. Les mictions sont fréquentes et peu abondantes. à prendre en 4CH 3granules 3x/jour.
- MERCURIUS CORROSIVUS : Inflammation trés irritante des muqueuses du gros intestin, du pharynx, des reins, de la vessie ou des yeux avec sensation de brûlure, ulcérations et, pour le rectum et la vessie, ténesme intense. On l'utilise contre les néphrites, les cystites aigues, l'urétrite et la vulvo-vaginite aigue. Toujours en 4CH, 3gr 3x/jour.
- ARGENTUM NITRICUM : Toutes les inflammations des muqueuses et dans le cas qui nous intéresse aujourd'hui, de la vessie et de l'urêtre. Avec brûlures à la miction, sensation d'écharde, tendance à la chronicité. Les sécrétions muco-purulentes assez épaisses et irritantes. En 5CH 3 gr 3x/jour.
Et en traitement de fond : 1 dose en alternant tous les 15 jours de :
BIOTHERAPIQUE GONOTOXINUM 7CH et
THUYA 7CH
AROMATHERAPIE :
AIL : L'essence d'ail est antiseptique, antitoxique, antiputride, bactéricide. On l'utilise en usage interne contre la blennorragie.
CAJEPUT : Antispasmodique et antiseptique et également sédatif. On l'utilise contre les cystites, les urétrites, les métrites, les néphrites, les blennorragies.
GENIEVRE : L'essence de genièvre est un antiseptique intégral, désinfectant, antitoxique. On l'utilise contre les putréfactions intestinales, les affections des voies urinaires, reins vessie, urêtre, uretères. Toutes les inflammations aigues comme dans le cas de la blennorragie, avec écoulement de pus.
HYSOPE : Contre les diverses inflammations, intestinales, cutanées, viscérales et dans les blennorragies pour ce qui nous concerne aujourd'hui
LAVANDE OFFICINALE ou lavande vraie : Nous l'avons vu la lavande sera trés utile dans ce cas. C'est un antiseptique intestinal, urinaire, trés bactéricide (tue les bacilles dits pathogènes), désintoxicante. Utilisée dans les maladies infectieuses comme syphilis, blennorragie, cystite, urétrites, vaginite, vulvite.
NIAOULI : Antiseptique général, désinfecte les voies intestinales, urinaires et bronchiques, calme la douleur (analgésique). On l'utilise dans les cystites, urétrites, vulvites, vaginites, salpingites, métrites, blennorragies.
PERSIL : Antiseptique, antiputride, améliore la vitalité et l'état général. Utilisée contre les rétentions d'urine, la gangrène, la syphilis, la blennorragie.
ROMARIN : Désintoxicante, antitoxique. L'essence de romarin s'oppose aux fermentations anormales et aux débacles intestinales, fait disparaitre l'inflammation et la douleur. Utilisée contre péritonite, entérite, salpingite, métrite, vulvite, urétrite, cystite, blennorragie, syphilis.
SANTAL : Antiseptique urinaire et pulmonaire, antitoxique. Utilisée contre blennorragie, cystite, métrite, urétrite, néphrite, prostatite.
SASSAFRAS : Contre les affections génito-urinaires comme blennorragie, inflammations de l'urètre, du vagin, de la vulve, contre la syphilis.