Les PROTEINES
Ce mot signifie littéralement "matière de première nécessité". Tout être vivant, du plus petit microbe jusqu'à l'éléphant est essentiellement composé de protéïnes. Donc une conclusion s'impose, tout régime sain et équilibré doit être riche en protéïnes. Cette substance est constamment utilisée pour construire et réparer et pour entretenir la combustion afin de fournir de l'énergie. Nous avons donc besoin de protéïnes mais notre régime actuel ne se compose-t-il pas trop de protéïnes ? ne sommes-nous pas des sur-protéïnés. Certains ont même dit que ce siècle était celui de la protéïne, tant elle est présente dans tous nos aliments. Songez qu'on en trouve partout, la viande, les volailles, les poissons, les oeufs, les laitages, fromages, yaourts, mais aussi dans les céréales et les légumineuses.
Nous avons vu que les molécules organiques appelées colloïdes composent les végétaux et les animaux et quand ces molécules contiennent de l'azote, elles sont désignées sous le nom de colloïdes protéïnés. La plante se nourrit des éléments minéraux inorganiques du sol, et avec l'aide de l'énergie solaire, elle transforme ces éléments en substances organiques colloïdales. Le mouton mange l'herbe et transforme les protéïnes de la plante en muscles. Et donc, pour nous, l'aliment naturel est la plante ou l'animal qui a mangé la plante. Nous l'avons vu aussi, on ne peut assimiler qu'un élément végétal ou animal, le minéral n'est pas assimilable par l'homme. Mangez de la terre vous rejeterez de la terre. Mais penser que manger de la viande est nécessaire pour obtenir force et santé est une vision faussée. Il suffit de penser à l'éléphant qui bâtit une montagne de muscles et des défenses redoutables en ne mangeant que de l'herbe. Il trouve bien le calcium nécessaire dans le végétal.
A quel moment a-t-on besoin de beaucoup de protéïnes ? C'est la substance essentielle, mais elle est encore plus importante pendant la période de croissance et la période de pleine activité de l'homme. Lorsqu'il vieillit, les besoins sont de moins en moins importants. La reproduction et la multiplication des cellules est impossible en l'absence des lymphocytes (les transporteurs) et d'un composé d'iode fourni par l'hormone de la glande thyroïde. Donc pendant la période de croissance, la thyroïde a besoin de protéïnes riches en iode et le thymus et les lymphocytes des amino-acides contenant du phosphore.
Mais comme nous consommons trop de protéïnes il faut bien stocker le surplus et ce sont le foie, les tissus intestinaux et les reins qui sont chargés de ce travail. Les américains qui sont les plus gros mangeurs de viande consomment leur poids de viande par an. Cette consommation produit un état euphorique et de bien-être mais on aurait tort de considérer cela comme un état de santé. Il s'agit d'une stimulation comme peut l'apporter le café et cette stimulation, si elle se prolonge emmènera tôt ou tard des maladies graves.
On peut observer que les aliments crus sont plus digestes que les aliments cuits et ne traumatisent pas le foie qui est l'élément principal de tout le métabolisme. D'ailleurs les indiens du Canada consommaient les viandes crues, foie, glandes surrénales, de même que les esquimaux qui mangent du poisson cru, et tous ces individus s'en portaient à merveille.
La teneur en protéïnes diffère d'un être vivant à l'autre et on retrouve cette teneur dans le lait de la mère. Pour les humains qui ont une croissance plus lente, le lait de la mère sera un des plus pauvre en protéïnes de toutes les espèces. On comprend l'erreur de remplacer ce lait qui est parfaitement adapté au bébé, par du lait de vache qui est adapté pour faire grandir un veau en peu de temps et qui est donc beaucoup plus riche en protéïnes. A ce stade il y a déjà hyper protéïnisation. Mais comme souvent, il y en a parmi nous qui vivent de ce commerce et ils n'hésitent pas à faire de la publicité tapageuse pour vendre.
Certains médecins n'hésitent pas à dire que l'on peut attribuer à cette hyper-protéïnisation de nombreuses maladies comme le rhumatisme cardiaque, la leucémie, la poliomyélite, les cancers, etc....
Il faut penser aussi à ce que les conditions de vie de chacun réclament en quantité de protéïnes. Si vous vivez dans le grand nord, la viande crue vous est nécessaire, elle a des vertus réchauffantes et stimulantes et vous sera bénéfique. Et puis c'est à peu prés la seule nourriture disponible. Si vous consommez pareille nourriture sous les tropiques vous ne vivrez pas longtemps mais le créateur a bien fait les choses, à cet endroit on trouve beaucoup de fruits.
Un exemple pour la digestibilité du cru et du cuit. Prenez un oeuf, le blanc cru est soluble dans l'eau, non putrescible dans les intestins et sera plus facilement assimilé que le blanc d'oeuf cuit qui est parfaitement insoluble dans l'eau. Plus on chauffe et on cuit les protéïnes et plus on change leur nature colloïdale. Les colloïdes hydrophyles sont transformés en colloïdes hydrophobes.
Tant que le foie est vigoureux et les glandes surrénales en bon état, les erreurs alimentaires sont camouflées mais chez les jeunes, autour des 5 ans, beaucoup de maladies surviennent, des rhumes qui n'en finissent plus, des allergies, de l'asthme, et beaucoup d'autres maladies difficilement guérissables.
En résumé, il est nécessaire de consommer des protéïnes avec modération La cuisson doit être la moins poussée car plus la protéïne est cuite et moins elle est digeste. Une hyper consommation de protéïnes peut tuer. Il faut veiller aussi à ne pas mélanger différentes sources de protéïnes dans un même repas, par exemple lait et viande ou viande et oeufs.
Nous avons vu que les molécules organiques appelées colloïdes composent les végétaux et les animaux et quand ces molécules contiennent de l'azote, elles sont désignées sous le nom de colloïdes protéïnés. La plante se nourrit des éléments minéraux inorganiques du sol, et avec l'aide de l'énergie solaire, elle transforme ces éléments en substances organiques colloïdales. Le mouton mange l'herbe et transforme les protéïnes de la plante en muscles. Et donc, pour nous, l'aliment naturel est la plante ou l'animal qui a mangé la plante. Nous l'avons vu aussi, on ne peut assimiler qu'un élément végétal ou animal, le minéral n'est pas assimilable par l'homme. Mangez de la terre vous rejeterez de la terre. Mais penser que manger de la viande est nécessaire pour obtenir force et santé est une vision faussée. Il suffit de penser à l'éléphant qui bâtit une montagne de muscles et des défenses redoutables en ne mangeant que de l'herbe. Il trouve bien le calcium nécessaire dans le végétal.
A quel moment a-t-on besoin de beaucoup de protéïnes ? C'est la substance essentielle, mais elle est encore plus importante pendant la période de croissance et la période de pleine activité de l'homme. Lorsqu'il vieillit, les besoins sont de moins en moins importants. La reproduction et la multiplication des cellules est impossible en l'absence des lymphocytes (les transporteurs) et d'un composé d'iode fourni par l'hormone de la glande thyroïde. Donc pendant la période de croissance, la thyroïde a besoin de protéïnes riches en iode et le thymus et les lymphocytes des amino-acides contenant du phosphore.
Mais comme nous consommons trop de protéïnes il faut bien stocker le surplus et ce sont le foie, les tissus intestinaux et les reins qui sont chargés de ce travail. Les américains qui sont les plus gros mangeurs de viande consomment leur poids de viande par an. Cette consommation produit un état euphorique et de bien-être mais on aurait tort de considérer cela comme un état de santé. Il s'agit d'une stimulation comme peut l'apporter le café et cette stimulation, si elle se prolonge emmènera tôt ou tard des maladies graves.
On peut observer que les aliments crus sont plus digestes que les aliments cuits et ne traumatisent pas le foie qui est l'élément principal de tout le métabolisme. D'ailleurs les indiens du Canada consommaient les viandes crues, foie, glandes surrénales, de même que les esquimaux qui mangent du poisson cru, et tous ces individus s'en portaient à merveille.
La teneur en protéïnes diffère d'un être vivant à l'autre et on retrouve cette teneur dans le lait de la mère. Pour les humains qui ont une croissance plus lente, le lait de la mère sera un des plus pauvre en protéïnes de toutes les espèces. On comprend l'erreur de remplacer ce lait qui est parfaitement adapté au bébé, par du lait de vache qui est adapté pour faire grandir un veau en peu de temps et qui est donc beaucoup plus riche en protéïnes. A ce stade il y a déjà hyper protéïnisation. Mais comme souvent, il y en a parmi nous qui vivent de ce commerce et ils n'hésitent pas à faire de la publicité tapageuse pour vendre.
Certains médecins n'hésitent pas à dire que l'on peut attribuer à cette hyper-protéïnisation de nombreuses maladies comme le rhumatisme cardiaque, la leucémie, la poliomyélite, les cancers, etc....
Il faut penser aussi à ce que les conditions de vie de chacun réclament en quantité de protéïnes. Si vous vivez dans le grand nord, la viande crue vous est nécessaire, elle a des vertus réchauffantes et stimulantes et vous sera bénéfique. Et puis c'est à peu prés la seule nourriture disponible. Si vous consommez pareille nourriture sous les tropiques vous ne vivrez pas longtemps mais le créateur a bien fait les choses, à cet endroit on trouve beaucoup de fruits.
Un exemple pour la digestibilité du cru et du cuit. Prenez un oeuf, le blanc cru est soluble dans l'eau, non putrescible dans les intestins et sera plus facilement assimilé que le blanc d'oeuf cuit qui est parfaitement insoluble dans l'eau. Plus on chauffe et on cuit les protéïnes et plus on change leur nature colloïdale. Les colloïdes hydrophyles sont transformés en colloïdes hydrophobes.
Tant que le foie est vigoureux et les glandes surrénales en bon état, les erreurs alimentaires sont camouflées mais chez les jeunes, autour des 5 ans, beaucoup de maladies surviennent, des rhumes qui n'en finissent plus, des allergies, de l'asthme, et beaucoup d'autres maladies difficilement guérissables.
En résumé, il est nécessaire de consommer des protéïnes avec modération La cuisson doit être la moins poussée car plus la protéïne est cuite et moins elle est digeste. Une hyper consommation de protéïnes peut tuer. Il faut veiller aussi à ne pas mélanger différentes sources de protéïnes dans un même repas, par exemple lait et viande ou viande et oeufs.