L'affaire BELJANSKI

Publié le par boisvert


Un chercheur a vaincu le cancer il y a …35 ans déjà… ! Part 2.


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Beljanski et le monde de la santé…

 

Pour pouvoir être vendu en Pharmacie, tout nouveau médicament doit d’abord subir un très grand nombre de contrôles, dits de phase I, puis II, puis III qui donne l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM), enfin IV pour vérifier qu’il n’y a pas d’effet secondaire imprévu. Ces démarches sont longues et ne peuvent être menées que par des spécialistes du médicament. Beljanski en est parfaitement conscient.

 

C’est un chercheur, et non un fabricant de médicaments, ni un commerçant. Dès qu’il a breveté son premier médicament, qui est le RLB, il se met en relation avec l’Institut Mérieux à Lyon en 1973. Après des essais prometteurs sur animaux, les interlocuteurs de Beljanski deviennent réservés, puis fuyants et la collaboration s’arrête bien avant que le dossier d’AMM soit prêt.

 

A cette époque, l’Institut Mérieux et l’Institut Pasteur sont en discussion pour fusionner le Service Production de Pasteur avec Mérieux (ce qui se produira en 1976). Etant donné ce que les dirigeants de l’Institut Pasteur pensent de Beljanski (voir plus haut), ils font comprendre aux responsables de l’Institut Mérieux qu’ils n’ont aucun intérêt de travailler avec ce " mauvais " chercheur.

 

Pour faire passer la pilule, Mérieux fait savoir à Beljanski que son Institut met au point un autre produit ayant les mêmes propriétés (l’Immuthiol) dont la production est moins chère.

 

Il faut croire que le produit en question n’est pas aussi bon qu’il le paraissait en 1973. Car, 8 ans plus tard, en 1981, le Chef du Département Développement et Visas de l’Institut Mérieux écrit au Président d’une Commission du CNRS : " … Les études toxicologiques sur les animaux nous permettent de débuter dans les jours qui viennent une étude clinique en double aveugle dans le Service du Professeur L. Schwarzenberg… ".

 

Deux ans plus tard, autorisation est donnée au Professeur Laurens du Val-de-Grâce de donner des doses de RLB aux praticiens ou hospitaliers qui en feront la demande. On est donc à la phase III du processus de demande d’AMM. Malheureusement l’Institut Pasteur a dû de nouveau se mettre en travers, car aucune demande d’AMM n’a été déposée.

 

Pendant la période où l’Institut Mérieux semble ne plus s’intéresser au RLB, Beljanski contacte le Laboratoire Servier, en 1975, pour lui présenter son premier anticancéreux , le BG8 (fabriqué à partir de l’alstonine). Dès que Beljanski annonce à M. Servier que son médicament sait distinguer entre cellule cancéreuse et cellule saine, la réaction est immédiate : " mais il n’y a pas de différence entre les cellules normales et les cellules cancéreuses ". Il n’y a donc même pas eu début de collaboration.

 

Après ces deux échecs, Beljanski se retire sous sa tente, si l’on peut dire pour continuer ses recherches et ne pas perdre de temps avec des industriels qui semblent indécrottables ou qui ont reçu l’ordre de ne pas donner suite.

 

Cependant des malades ont forcé la main de Beljanski. Car un Professeur de l’Université Paris-XIII, le Professeur Nawrocki, a eu vent des recherches et des résultats de Beljanski et en a fait bénéficier un membre de sa famille en 1982. D’autre part un médecin de ville a entendu parler de Beljanski et de ses résultats dans un congrès de médecins en 1985.Le bouche à oreille se met alors à fonctionner.

 

En 1983, Beljanski reçoit une demande pressante d’un cancéreuxs auquel la Faculté (qui ne peut plus rien pour lui) accorde une survie de deux à trois mois. Beljanski le traite par la flavopereirine (sous le nom de PB 100) et le sauve. En 2003, il a fêté ses 20 ans de survie. D’autres exemples suivent. Ces succès se sont répandus comme une traînée de poudre, et il devenait de plus en plus difficile à Beljanski de refuser son aide.

 

Et voilà Beljanski obligé de faire ce qu’il ne voulait pas faire : produire et commercialiser (et ceci sans AMM).

 

Pour pouvoir continuer ses recherches après sa retraite (1988), Beljanski avait fait l’achat d’un petit pavillon à Ivry. C’est là qu’il va commencer à produire pour répondre à une demande instante. Mais un homme d’affaire, concerné par un cas dans sa famille (un enfant mort d’un lymphome) lui propose sa collaboration et lui crée un laboratoire plus important à St-Prim dans l’Isère.

 

Mais qu’il soit bien clair : si Beljanski fait produire et vendre, ce n’est pas pour s’enrichir. Cela va l’aider à poursuivre ses recherchez. Ce n’est pas avec une retraite de fonctionnaire que l’on peut financer un Laboratoire de Recherche.

 

Beljanski et le monde de la justice

 

Les hauts fonctionnaires du Ministère de la Santé connaissent très bien leur métier. En particulier, ils connaissent bien la doctrine officielle de la lutte anticancéreuse. Témoin la lettre du Ministre de la Santé, du 15 décembre 1989, en réponse à une lettre relatant la guérison d’une cancéreuse par le PB 100 (à base de flavopeirine), lettre dont j’extrais le passage essentiel :

 

" Ce qui est reproché à M. Beljanski, ce n’est pas de faire son métier de chercheur qu’il peut bien entendu poursuivre. C’est de fabriquer sans aucun contrôle de sécurité des produits dont il refuse absolument de donner la composition, alors qu’il n’est pas pharmacien et de prescrire ses produits à des malades, fussent-ils consentants, alors qu’il n’est pas médecin. Il faut savoir que, tout médicament efficace a des effets secondaires. Il n’y a aucune exception à cette règle. Il est de mon devoir de responsable de la santé publique de protéger la population vis-à-vis de ces risques. "

 

Cette lettre devrait figurer en bonne place dans une anthologie de la cancérologie d’avant-Beljanski. Nos autorités en sont restées au dogme de la toxicité obligatoire des produits anticancéreux et refusent toute efficacité au PB100 puisqu’il n’est pas toxique. Que voilà une belle application du mythe du poison salvateur dans toute sa splendeur (ou dans toute son horreur !).

 

Puisque Beljanski produit et vend comme médicaments anticancéreux des produits non toxiques, c’est un “escroc”. D’où une première plainte du Ministère de la Santé en 1988.

 

Cette plainte ne donne lieu à aucune poursuite, car il faut savoir que les pharmaciens jouissaient jusqu’à fin 1992 d’un privilège ancestral, sous le nom de préparation magistrale. Tout pharmacien pouvait produire et commercialiser un médicament de son cru sans avoir à demander une autorisation de mise sur le marché, car il mettait sa réputation en jeu.

 

Il pouvait se faire aider pour la fabrication et la commercialisation, c’est à dire créer une Société commerciale ; il pouvait aussi fournir sa préparation à d’autres pharmaciens.

 

C’est ce qu’a fait Beljanski. Tous ses produits ont été fabriqués sous l’égide d’un pharmacien, Alain Mirouze. Ils ont donc la qualification de préparation magistrale. On ne peut rien lui reprocher. Un non-lieu clôt l’affaire. Fort de ce succès, il annonce officiellement sa thérapie en Novembre 1990 dans une communication dont le titre a été repris pour cet article

 

Mais l’industriel qui l’a aidé à monter le Laboratoire de St-Prim a décidé d’amorcer le processus de demande d’AMM. Il se met pour cela en relation avec le Professeur Jean Cahn, Directeur d’un Laboratoire intitulé " Institut de Recherche SIR International ", et le charge de faire faire les essais " en double aveugle " nécessités par le dossier d’AMM. Bien entendu, les premiers résultats sont excellents.

 

En même temps, le Professeur Cahn est en relation avec le Ministère de la Santé et le tient au courant. Dans une lettre du 15 Octobre 1992, on peut lire : "J’ai été mandaté pour entamer toutes les études prévues pour une demande d’AMM pour chacun des produits brevetés ".

 

Les hauts fonctionnaires du Ministère de la Santé, mis ainsi au courant, n’attendent pas que les dossiers d’AMM soient constitués (ce qui prendrait encore des années) pour faire stopper le processus. Car, n’est-ce pas, on sait d’avance qu’il ne sortira rien de ces essais puisqu’il s’agit de produits non toxiques.

 

On ne peut que s’étonner que ces fonctionnaires ne réalisent pas que, de 1983 à 1992, Beljanski a soigné des centaines de malades avec ces médicaments non toxiques, et pourtant aucun ne porte plainte… Les suites provoquées par cette lette d’Octobre 1992 sont décrites dans un livre traitant de L’Affaire Beljanski :

 

" Au moment où paraissent les résultats des expertises, on s’aperçoit tout à coup que le Pr Cahn a une très importante dette avec l’URSSAF… Une dette qui ne peut plus surseoir. Alors qu’elle traînait depuis des années, soudain plus aucun arrangement n’est possible… Le Pr Cahn va être presqu’immédiatement mis en liquidation ainsi que son Laboratoire. SIR disparaissant, le processus de demande d’AMM est aussi bloqué. "

 

On voit que le pouvoir veut à toute force transformer Beljanski en coupable. Maintenant qu’on l’a empêché de préparer des dossiers d’AMM, il faut lui interdire l’emploi de la préparation magistrale. Pour cela, il suffit d’en restreindre le droit d’utilisation.

 

C’est ce qui va être fait par un article de loi introduit subrepticement dans la loi de finance rectificative du 8 Décembre 1992. Maintenant le pouvoir tient Beljanski puisqu’il n’a pas d’AMM pour ses médicaments et qu’il ne peut plus prétendre à la préparation magistrale. Une deuxième plainte est déposée début 1993 au T.G.I. de St-Etienne.

 

L’affaire est plaidée le 23 Mars 1994. Le Procureur, sans lire ses notes (ce qui veut dire qu’il enfreint les ordres provenant du pouvoir), prend la défense de Beljanski :

 

" Mirko Beljanski est un biologiste réputé. Personne ne conteste la valeur de ses travaux. Le représentant du ministère public reconnaît que le biologiste n’est pas un charlatan. Il n’y a pas d’élément dans le dossier qui puisse permettre de discréditer la valeur scientifique de ses travaux…

 

L’Etat aurait dû l’aider financièrement. " (citation du Journal de la Haute Loire du 24 Mars 1994). Le Procureur demande et obtient une condamnation symbolique à une amende de 1 F, avec dispense de peine. Quelle gifle pour le Directeur Général de la Santé !

 

Va t’il se tenir pour battu ou va t’il déposer une troisième plainte ? Car, même si Beljanski a pratiquement gagné, il n’en reste pas moins qu’il n’a pas d’AMM et qu’il ne peut plus prétendre à la préparation magistrale, comme déjà indiqué plus haut.

 

Il faut que Beljanski se méfie, car, même s’il est impossible de remettre en cause la chose jugée, le Directeur Général de la Santé a l’air tellement monté contre Beljanski qu’il trouvera bien un moyen de déposer une troisième plainte.

 

Nous sommes en 1994 et il faudra attendre le 20 Juin 1996 pour le dépôt de cette troisième plainte. Pourquoi deux ans d’attente ? Parce qu’il se produit un fait totalement inattendu. Quelqu’un a fait connaître au Président François Mitterand, atteint d’un cancer de la prostate avec métastases osseuses, l’existence du Pao Pereira (Pau Pereira) (à base de flavopereirine) et lui a donné les références d’un médecin connaissant les médicaments Beljanski.

 

Alors que le Président s’était même trouvé mal en Conseil des Ministres, on le voit reprendre de l’allant. Il faut dire qu’il a eu droit à un traitement royal. Beljanski a fabriqué spécialement pour lui un produit dosé à 70% (PB 800) de flavopereirine, alors que le vulgum pecus se contente de 10% ou de 30% pour des cas lourds.

 

Le pouvoir a donc attendu le décès du Président pour déposer la troisième plainte au T.G.I. de Créteil, profitant du fait que les doses de R.L.B. étaient fabriquées dans le petit Laboratoire d’Ivry. Ce qui s’est passé à la suite de cette troisième plainte est proprement incroyable.

 

Les consignes données au Juge d’Instruction étaient certainement très dures, car le 9 Octobre 1996 eut lieu à St Prim une scène digne d’un (mauvais) western américain : envoi de membres du GIGN cagoulés pénétrant dans la propriété à 6 heures du matin en cisaillant la clôture, en défonçant la porte du Laboratoire, etc…Beljanski est emmené manu militari et transféré de Lyon à Créteil menotté en chemin de fer !!!

 

Il fut mis sous contrôle judiciaire. On lui confisqua son passeport (" pour qu’il ne puisse pas faire à l’étranger ce qu’on ne veut pas qu’il fasse en France "). On lui interdit : - de sortir de France ; - de parler de ses produits ; - de publier des articles scientifiques ; - de rencontrer des journalistes ; - d’assister à des colloques scientifiques ; etc…

 

Vous ne vous étonnerez pas que le stress créé par cette situation ait déclenché chez lui une leucémie myéloïde aigüe, gravissime à son âge, à laquelle il a résisté deux ans grâce à ses propres médicaments. Il est décédé le 28 Octobre 1998.

 

En même temps que Beljanski subissait ce traitement, le Juge d’Instruction envoyait les gendarmes chez tous les patients utilisant ces médicaments pour confisquer les produits !! Dans le mois qui a suivi, des patients, qui venaient de commencer une thérapie Beljanski de la dernière chance, en sont morts.

 

L’affaire s’est plaidée en Mai 2001.D’après ce qu’on peut deviner des consignes données au Parquet de Créteil, il ne faut pas s’étonner que le Procureur n’ait rigoureusement tenu aucun compte des témoins de la défense, dont j’étais, nous considérant comme des petits " rigolos " qui n’ont aucune importance. Il a été suivi par la Cour qui a prononcé des condamnations très sévères : prison avec sursis et amendes. D’où appel.

 

L’appel a eu lieu à Paris et s’est plaidé en Mai 2002. Les témoins ont été écoutés et entendus en ce sens que la Cour a reconnu que les produits Beljanski n’étaient pas " des produits trompeurs " comme il était indiqué dans l’acte de renvoi. De ce côté-là, nous avons gagné.

 

Mais les condamnations ont encore été sévères bien que la prison ait été supprimée. (Pour la petite histoire, un haut magistrat, rencontrant dans un couloir le Professeur Nawrocki lui a dit : "Je vous félicite. Ce que vous faites est remarquable… ; mais il y a une pression énorme sur ce dossier ". Les magistrats reconnaissent que la plainte du Ministère de la Santé n’est étayée que par des arguments fallacieux. Cela ne les empêche pas de condamner. Que devient la séparation des pouvoirs ?)

 

Conclusion..

 

Il est étrange de constater que rien n’a pu résoudre le " malentendu " entre Beljanski et les biologistes officiels. Aucun d’entre eux n’a voulu prendre connaissance des résultats de Beljanski.

 

Et quand l’un d’ente eux veut vérifier une affirmation de Beljanski (mais sans lire la publication correspondante), il interprète mal son résultat et la " nomenklatura " biologique condamne Beljanski.

A quoi cette situation vous fait-elle penser ?

 

Evidemment au conflit entre Galilée et la Papauté. Comment se fait-il que les tenants aveugles du dogme soient des hommes, et des femmes, faisant partie des êtres les plus intelligents, les plus cultivés, les plus rationnels de la planète ? Par principe, ils ont en horreur le principe d’autorité. Et que font-ils ?

 

Exactement le contraire de ce que l’on attend d’eux : ils se soumettent d’eux-mêmes au principe d’autorité en suivant J. Monod sans discuter. Comment se fait-il qu’ils ne réalisent pas que leur comportement est l’antithèse de leurs principes ?

 

La condamnation de Galilée a comporté :

 

une interdiction de parler du système héliocentrique ; une assignation à résidence. Qu’en a t’il été pour Beljanski ?

 

une interdiction totale de continuer à faire de la recherche et d’en parler ;

une arrestation dans des conditions telles que le stress ainsi créé ne pouvait déboucher que sur un décès, vu son âge. Actuellement, la situation est la suivante :

 

si, ayant un cancer détecté à temps, vous connaissez un médecin pratiquant la thérapie Beljanski, vous décuplez de guérir sans subir d’effets secondaires importants (mais aussi à condition de pouvoir payer, car les gélules sont onéreux et ne sont pas remboursés par la Sécurité Sociale) ;

 

si vous ignorez la thérapie Beljanski (c’est la situation officielle actuellement), vos chances de guérison sont beaucoup plus faibles, et vous subissez les effets secondaires, mais vous êtes remboursés…

 

Il faut aussi savoir que ces médicaments sont tellement efficaces et sans effets secondaires qu’ils sont amplement copiés de par le monde. On compte actuellement 17 contrefacteurs (qui ne versent aucune redevance aux héritiers Beljanski) basés principalement autour de la France (Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg, Suisse).

 

Si cet article ne vous a pas convaincu de l’excellence des médicaments Beljanski, je pense que l’existence de ces contrefacteurs entraînera votre adhésion. Car, jusqu’à présent, on n’a encore jamais copié quelque chose qui ne marche pas.

 

Une dernière remarque : les gens de ma génération se souviennent que, en 1955, après la découverte du vaccin de la poliomyélite, le Président Eisenhower a déclaré : " Dans vingt ans, le cancer sera vaincu " Et les Etats-Unis ont mis le paquet, c’est à dire beaucoup d’argent et de chercheurs, sur la recherche sur le cancer.

 

Résultat : officiellement néant. Et, dans toutes les nations développées, on continue à effectuer des recherches pour guérir les cancéreux, et ceci sans obtenir aucun résultat notable.

 

Or, qu’est-ce que l’on retire de l’histoire de Beljanski et de ses médicaments ? Tout simplement qu’effectivement le cancer a été vaincu dans les vingt ans prévus par le Président Eisenhower, puisque c’est en Décembre 1975 que Beljanski a présenté son premier médicament anticancéreux au Directeur du Laboratoire Servier.

 

Ce que ne pouvait prévoir le Président Eisenhower, c’est que cela ne se produirait pas aux Etats-Unis et ne serait pas le fait de la recherche ayant " pignon sur rue ", qu’il s’agisse de recherche académique ou de recherche appliquée. Nous avons vu que ces médicaments spécifiques et non toxiques sont des molécules naturelles présentes dans certains végétaux.

 

Ces molécules ne pouvaient être trouvées que si l’on pensait à s’occuper à la fois de cancers végétaux et de cancers animaux. Seul au monde Beljanski a eu cette idée de génie.

 

D’autres infos incroyable sur cette affaire ici :

http://www.beljanski.com/france/beljanski.html

 

Un livre parmis tant d’autre, sur l’affaire Beljanski :  Enquête sur un survivant illégal… Sophie Chervet - Guy Trédaniel

 

Soigné par les médicaments interdits du biologiste Mirko Beljanski, Gérard Weidlich est devenu pour les médias, dans les années 90, le symbole de "l’affaire Beljanski". Maître nageur sauveteur contaminé par le virus du sida en sauvant un noyé, il raconte son combat contre les institutions qui ont attaqué sans répit le biologiste.

 

Ce livre offre un témoignage passionnant sur cette affaire d’Etat…

 

Pour info :

Le cancer, est la première cause de mortalité chez l’homme, tous âges confondus.

Le cancer touchera un homme sur deux et une femme sur trois dans le courant de leur vie.

Le cancer tue dans notre pays 150 000 personnes chaque année, soit plus de 410 décès chaque jour.

Le coût du cancer pour le système de santé Français, est estimé à 15 milliards d’euros par an.

 

Le site officiel des produits Beljanski ici :

http://www.natural-source.com/francais/products.php

 

Certes ce sujet n’est pas nouveau, mais pour les plus jeunes qui lisent ces lignes, il est sans doute une découverte.

 

A vous de juger…

 

 

 

Publié dans santenature

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J
Le plus "incroyable" c'est qu'a ce jour, les recherches se poursuivent et les résultats de Beljanski sont confirmés par des centres aux USA... tandis qu' en France, toujours pas de méa culpa des autorités sanitaires.
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B
Et on en trouve beaucoup des éléments incroyables dans notre pauvre médecine. Hélas !
R
<br /> Hello Boisvert<br /> <br /> <br /> Très heureuse de te retrouver à nouveau sur la toile Et de surcroit avec un article cadeau<br /> <br /> <br /> Je te remercie infiniment pour cette info qui nous démontre une fois de plus que seul le profit mobillise la grande majorité des. hommes et que la vie n'a aucun prix quand il s'agit de<br /> s'enrichir!<br /> Je t'avoue que cet article soulève en moi une vague de dégout devant l'hypocrisie humaine Enfin ce qui me rassure c'est que toute cette méchanceté a une fin et au vu de se qui se passe, elle ne<br /> va pas tarder<br /> Quant à toi continue à nous aimer car il est écrit que "c'est à l'amour que vous avez les uns pour les autres que l'on reconnaitra que vous êtes mes disciples"^<br /> Excellente journée et à bientôt de te lire     Roro<br /> <br /> <br />  <br />
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B
<br /> <br /> C'est tout de même curieux que lorsque l'on veut soigner autrement on vous mette des bâtons dans les roues. Résultat ces produits Beljanski sont chers alors qu'ils ne devraient pas l'être. En<br /> plus ils ont prouvé depuis le temps qu'ils étaient efficaces (sinon ils seraient tombés dans les oubliettes). Mais si vous voulez vous soigner par les produits toxiques de notre pauvre médecine<br /> toutes les portes sont ouvertes malgré les millions de morts. C'est vraiment le diable qui  gouverne ce monde.<br /> <br /> <br /> J'espère que tu vas bien Roro et suis content de te lire de temps en temps.<br /> <br /> <br /> <br />
J
<br /> J'ai été traité pour un cancer du sein en mars 2009.<br /> <br /> <br /> J'ai subi 2 interventions chirurgicales, chimio et radiothérapie<br /> <br /> <br /> J'ai tout de suite pris les produits Beljanski à l'annonce de mon cancer. Les séances de chimio sont passées comme une lettre à la poste .Ma peau a très bien supportée les rayons , aucune rougeur<br /> à la grande surprise du radiologue ( j'avais pris du ginko v à fortes doses)<br /> <br /> <br /> Lors de la 1ère intervention chirurgicale,présence de cellules précancéreuses sur les berges d'exérèse .Le chirurgien et l'oncologue voulaient pratiquer une mammectomie, que j'ai refusé , ( je<br /> prenais déjà du pao v fm et du rovol v )<br /> <br /> <br /> J'ai donc subi une 2 ème tumoretomie et résultat des courses : c'était négatif, plus de traces de cellules précancéreuses <br /> <br /> <br /> J'ai caché à l'oncologue et même à mon entourage que je ne prenais pas d'hormonothérapie ( j'aurai eu droit à des menaces) Je prends Rovol V à la place et je me sens très bien<br /> <br /> <br /> C'est vrai que le traitement est assez cher ( 180 euros par mois) c'est l'equivalent que paye un fumeur qui fume un paquet par jour<br /> <br /> <br />  <br />
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B
<br /> <br /> Et bien merci pour tous pour ce précieux témoignage, rien ne vaut l'expérience.<br /> <br /> <br /> <br />