TROUBLES MENTAUX
C'est par centaines de milliers que l'on compte ceux que l'on appelle des fous. Les asiles sont pléthoriques. Mais les troubles mentaux ne se limitent pas à ceux qui sont réellement fous mais aussi à la cohorte de troubles du mental, des suicidaires, aux psychotiques, des dépressifs, aux angoissés permanents, et il n'y a jamais assez de psychiatres pour soigner tous ces gens.
Les causes sont nombreuses allant du traumatisme cérébral aux chocs émotionnels et au stress de la vie quotidienne. L'hérédité et les prédispositions de chacun peuvent jouer également un rôle essentiel, mais c'est surtout un mode vie anti-hygiénique qui permet à tous ces facteurs de devenir vraiment traumatisants pour l'individu. Une alimentation excessive, et dans nos pays elle l'est toujours, ou carencée, une insuffisance d'exercice physique, de respiration, (mais les deux sont liés), ajoutant à cela les abus de poisons comme le tabac et surtout l'alcool et nous avons le lit de toutes ces maladies.
Pour le naturopathe, il est nécessaire d'entretenir un sang trés pur car le sang baigne et nourrit toutes les cellules de notre corps et les cellules cérébrales ne font pas exception. Donc la qualité de ce sang est primordiale et est une des conditions essentielles au rétablissement des différents troubles mentaux. La médecine classique ne se préoccupe pas du patient, elle ne songe qu'à éliminer les symptômes dérangeants. Elle en arrive donc à ajouter des produits chimiques à un organisme qui est déjà en souffrance par pollution. On en arrive toujours au principe qui devrait être le principe de base "primum non nocere".
Le stress est un des facteurs pouvant amener ces déséquilibres et c'est vrai qu'on ne peut pas toujours le supprimer. Il ne nous reste qu'une solution et une seule, il faut nous adapter, ou plutôt il faut que notre organisme puisse être assez fort pour résister. Une récupération plus efficace de l'énergie nerveuse par le repos, le sommeil, la relaxation, l'apprentissage de la respiration abdominale, une alimentation plus vitalisante, de l'air pur, du soleil, de l'exercice dosé pour les possibilités du sujet, voilà autant d'éléments qui peuvent dresser un cadre favorable à l'épanouissement du malade et à son rétablissement.
Mais d'abord il faut éliminer les poisons qui sont à l'origine de tous ces troubles.
- Prenons par exemple le tabac ; A priori on comprend mal que le tabac qui s'échappe en fumée puisse être cause de troubles de ce genre car en fait fumer aide à détendre ceux qui pratiquent l'usage de ce poison si commun. Mais il faut savoir que la fumée détruit la vitamine C ainsi que de nombreux oligo-éléments, que cette fumée tapisse les alvéoles pulmonaires empêchant ainsi une bonne oxygénation du sang et nous avons vu qu'un sang pollué était à l'origine de nombreux troubles mentaux. Cette fumée est à l'origine de fatigues, d'impuissance, de neurasthénie, de pertes de mémoire, d'insomnie, d'angoisses, points de départ de troubles beaucoup plus graves, pouvant aller jusqu'à des idées de suicide et à la folie.
- Les médicaments et les vaccins peuvent être eux aussi à l'origine de tous ces déséquilibres. La plupart des médicaments peuvent causer des troubles neuro-hormonaux, psychiatriques. Tous les médicaments qui neutralisent violemment les réactions de votre système nerveux vous débilitent un peu plus chaque jour. Tous ces médicaments qui vous empêchent de souffrir, ceux qui vous aident à dormir, les anesthésiques, les antihistaminiques, les antibiotiques, les sulfamides, les stéroïdes, tous ces médicaments qui vont vous faire du bien dans l'instant ont frappé fort sur votre système nerveux. Bien sûr on pourrait y ajouter toutes les drogues mais là point n'est besoin d'en rajouter ceux qui en prennent connaissent les risques qu'ils prennent et ils les prennent sciemment. En tous cas beaucoup de névroses et de psychoses qui ne sont que les prémices de troubles plus profonds se réduiraient d'elles mêmes si la paix thérapeutique était instaurée à temps. Mais nous avons vu que la loi elle-même y ajoute sa contribution en obligeant tout le monde à se fairevacciner.
Et il faut agir au plus tôt dans le rétablissement de tous ces facteurs de santé car de petits troubles légers se transforment rapidement en dégradations cellulaires irréversibles. Aucune médecine au monde ne faisant repousser un bras que l'on a perdu. Certaines cellules sont irrémédiablement perdues. La plupart des troubles commencent toujours par être mineurs et c'est à ce moments-là que nous pouvons agir. Les insomnies, les angoisses, les dépressions, les complexes, l'impuissance. l'agitation, sont des maladies crées par notre vie trépidante et notre mauvaise hygiène de vie qui ne nous permet pas de nous adapter. C'est à ce moment-là qu'il faut fuir toute thérapeutique anti-symptômatique car le danger est là en créant artificiellement une paix provisoire et trompeuse qui laisse se développer les conditions de traumatismes plus graves.
Et pour se reprendre en main, lejeûne court ou long selon les individus, est une arme trés importante.Le Pr Nikolayev, de Moscou a traité par le jeûne 140 schizophrènes. Aprés un jeûne de 21 jours, plus de la moitié des patients furent considérés comme guéris. Mais si un long jeûne est nécessaire pour s'attaquer à des troubles aussi importants que la schizophrénie, on peut aussi penser à des jeûnes courts allant du simple repas sauté à une journée ou deux avant l'établissement d'une alimentation équilibrée. C'est ce qui s'appelle partir d'un bon pied.
Dans un premier temps il faut fuir tous ces médicaments qui neutralisent les réactions du système nerveux. Bien sûr dans un cas de folie furieuse il peut y avoir un recours urgent à des drogues plus dures mais ces cas sont exceptionnels.
Ensuite première chose un jeûne court ou long en rapport avec l'état du patient
Les troubles aigues s'estompant on établira une façon saine de s'alimenter avec apport d'aliments spécifiques, vitalisants comme du blé germé, des algues, de la levure alimentaire, etc...
S'entourer d'un climat calmant et reposant. Veiller à fuir tous les appareillages électriques autour du malade. Veiller aussi aux ondes nocives possibles dans la chambre à coucher. La chambre sera ventilée aérée. Supprimer de la chambre radios et télés, bien sûr.
Reprise d'exercices physiques appropriés à l'état du malade. Respiration d'air pur, bains de soleil raisonnables. Eviter les heures de grand ensoleillement.
Suppression de toutes drogues, tabac, alcool et autres.
Rechercher les causes psychologiques possibles.
Techniques de respiration abdominale et de relaxation.
Organiser les loisirs afin d'optimiser les résultats. Retour à la nature par exemple car ces malades en sont trés souvent éloignés.
Voilà des conditions de reprise en main. Je sais que ces malades sont particulièrement difficiles à soigner car ils n'en ont pas la volonté et le désir. Certains ne voient même pas dans quel état de dégradation ils sont. Ce sera donc à l'entourage de faire preuve de beaucoup de psychologie et de persévérance.
Les causes sont nombreuses allant du traumatisme cérébral aux chocs émotionnels et au stress de la vie quotidienne. L'hérédité et les prédispositions de chacun peuvent jouer également un rôle essentiel, mais c'est surtout un mode vie anti-hygiénique qui permet à tous ces facteurs de devenir vraiment traumatisants pour l'individu. Une alimentation excessive, et dans nos pays elle l'est toujours, ou carencée, une insuffisance d'exercice physique, de respiration, (mais les deux sont liés), ajoutant à cela les abus de poisons comme le tabac et surtout l'alcool et nous avons le lit de toutes ces maladies.
Pour le naturopathe, il est nécessaire d'entretenir un sang trés pur car le sang baigne et nourrit toutes les cellules de notre corps et les cellules cérébrales ne font pas exception. Donc la qualité de ce sang est primordiale et est une des conditions essentielles au rétablissement des différents troubles mentaux. La médecine classique ne se préoccupe pas du patient, elle ne songe qu'à éliminer les symptômes dérangeants. Elle en arrive donc à ajouter des produits chimiques à un organisme qui est déjà en souffrance par pollution. On en arrive toujours au principe qui devrait être le principe de base "primum non nocere".
Le stress est un des facteurs pouvant amener ces déséquilibres et c'est vrai qu'on ne peut pas toujours le supprimer. Il ne nous reste qu'une solution et une seule, il faut nous adapter, ou plutôt il faut que notre organisme puisse être assez fort pour résister. Une récupération plus efficace de l'énergie nerveuse par le repos, le sommeil, la relaxation, l'apprentissage de la respiration abdominale, une alimentation plus vitalisante, de l'air pur, du soleil, de l'exercice dosé pour les possibilités du sujet, voilà autant d'éléments qui peuvent dresser un cadre favorable à l'épanouissement du malade et à son rétablissement.
Mais d'abord il faut éliminer les poisons qui sont à l'origine de tous ces troubles.
- Prenons par exemple le tabac ; A priori on comprend mal que le tabac qui s'échappe en fumée puisse être cause de troubles de ce genre car en fait fumer aide à détendre ceux qui pratiquent l'usage de ce poison si commun. Mais il faut savoir que la fumée détruit la vitamine C ainsi que de nombreux oligo-éléments, que cette fumée tapisse les alvéoles pulmonaires empêchant ainsi une bonne oxygénation du sang et nous avons vu qu'un sang pollué était à l'origine de nombreux troubles mentaux. Cette fumée est à l'origine de fatigues, d'impuissance, de neurasthénie, de pertes de mémoire, d'insomnie, d'angoisses, points de départ de troubles beaucoup plus graves, pouvant aller jusqu'à des idées de suicide et à la folie.
- Les médicaments et les vaccins peuvent être eux aussi à l'origine de tous ces déséquilibres. La plupart des médicaments peuvent causer des troubles neuro-hormonaux, psychiatriques. Tous les médicaments qui neutralisent violemment les réactions de votre système nerveux vous débilitent un peu plus chaque jour. Tous ces médicaments qui vous empêchent de souffrir, ceux qui vous aident à dormir, les anesthésiques, les antihistaminiques, les antibiotiques, les sulfamides, les stéroïdes, tous ces médicaments qui vont vous faire du bien dans l'instant ont frappé fort sur votre système nerveux. Bien sûr on pourrait y ajouter toutes les drogues mais là point n'est besoin d'en rajouter ceux qui en prennent connaissent les risques qu'ils prennent et ils les prennent sciemment. En tous cas beaucoup de névroses et de psychoses qui ne sont que les prémices de troubles plus profonds se réduiraient d'elles mêmes si la paix thérapeutique était instaurée à temps. Mais nous avons vu que la loi elle-même y ajoute sa contribution en obligeant tout le monde à se fairevacciner.
Et il faut agir au plus tôt dans le rétablissement de tous ces facteurs de santé car de petits troubles légers se transforment rapidement en dégradations cellulaires irréversibles. Aucune médecine au monde ne faisant repousser un bras que l'on a perdu. Certaines cellules sont irrémédiablement perdues. La plupart des troubles commencent toujours par être mineurs et c'est à ce moments-là que nous pouvons agir. Les insomnies, les angoisses, les dépressions, les complexes, l'impuissance. l'agitation, sont des maladies crées par notre vie trépidante et notre mauvaise hygiène de vie qui ne nous permet pas de nous adapter. C'est à ce moment-là qu'il faut fuir toute thérapeutique anti-symptômatique car le danger est là en créant artificiellement une paix provisoire et trompeuse qui laisse se développer les conditions de traumatismes plus graves.
Et pour se reprendre en main, lejeûne court ou long selon les individus, est une arme trés importante.Le Pr Nikolayev, de Moscou a traité par le jeûne 140 schizophrènes. Aprés un jeûne de 21 jours, plus de la moitié des patients furent considérés comme guéris. Mais si un long jeûne est nécessaire pour s'attaquer à des troubles aussi importants que la schizophrénie, on peut aussi penser à des jeûnes courts allant du simple repas sauté à une journée ou deux avant l'établissement d'une alimentation équilibrée. C'est ce qui s'appelle partir d'un bon pied.
Dans un premier temps il faut fuir tous ces médicaments qui neutralisent les réactions du système nerveux. Bien sûr dans un cas de folie furieuse il peut y avoir un recours urgent à des drogues plus dures mais ces cas sont exceptionnels.
Ensuite première chose un jeûne court ou long en rapport avec l'état du patient
Les troubles aigues s'estompant on établira une façon saine de s'alimenter avec apport d'aliments spécifiques, vitalisants comme du blé germé, des algues, de la levure alimentaire, etc...
S'entourer d'un climat calmant et reposant. Veiller à fuir tous les appareillages électriques autour du malade. Veiller aussi aux ondes nocives possibles dans la chambre à coucher. La chambre sera ventilée aérée. Supprimer de la chambre radios et télés, bien sûr.
Reprise d'exercices physiques appropriés à l'état du malade. Respiration d'air pur, bains de soleil raisonnables. Eviter les heures de grand ensoleillement.
Suppression de toutes drogues, tabac, alcool et autres.
Rechercher les causes psychologiques possibles.
Techniques de respiration abdominale et de relaxation.
Organiser les loisirs afin d'optimiser les résultats. Retour à la nature par exemple car ces malades en sont trés souvent éloignés.
Voilà des conditions de reprise en main. Je sais que ces malades sont particulièrement difficiles à soigner car ils n'en ont pas la volonté et le désir. Certains ne voient même pas dans quel état de dégradation ils sont. Ce sera donc à l'entourage de faire preuve de beaucoup de psychologie et de persévérance.